J'écoute un disque de blues ... et c'est d'la balle bébé

Merci Mosquito. Alors j'ai fais comme t'as expliqué et apparement ça marche
sauf que les photos sont minis

Pour celle-ci par exemple...
...
http://www.google.fr/images?hl=fr&rlz=1T4SUNC_frFR387FR387&q=magic%20slim%20raising%20the%20bar&um=1&ie=UTF-8&source=og&sa=N&tab=wi
...

Il faut faire un clic gauche sur la photo en miniature puis il faut cliquer sur: Afficher l'image en taille réelle où bien RE-cliquer sur la miniature pour qu'elle s'affiche dans sa taille normale puis clic droit et enregistrer l'image sous... et ça donne ça...




( si ça marche pas tu en choisis une autre..)

RJDio a écrit:Cadeau du Papa Noël, je decouvre et c'est bon.

un chef-d'oeuvre de blues swing, à écouter sur la terrasse un soir d'été prochain ou bien actuellement au coin de l'âtre

Après avoir quitté les Stones Mick Taylor a commis une petite poignée d'album dont celui-ci "Stranger in this Town" qui est un petit bijou. Maître Taylor y reprend "I Wonder Why" et "Laundromat Blues" d’Albert King, "Little Red Rooster" de Willie Dixon, "You Gotta Move" et "Jumpin' Jack Flash" empruntés aux Stones plus une bonne version du "Red House" de Jimi Hendrix intelligemment combiné au célèbre Goin' Down Slow de James Oden. Seulement deux compositions originales mais un fantastique "Goin' South" : escapade latine à la Carlos Santana qui s'étend sur plus de 10 minutes dont la première moitié consiste en un solo de guitare brûlant et la seconde en une improvisation au clavier de Max Middleton.

Album splendide de M. Buddy Guy. Il me fout la chair de poule cet album.
Indispenssable.

On dirait Mick Jagger sur la photo !

romsd07 a écrit:

Album splendide de M. Buddy Guy. Il me fout la chair de poule cet album.
Indispenssable.

un opus près de l'os qui ramène BG sur le devant. Un de ses tout meilleurs avec le dernier !

C'est en 1971 qu'a été enregistrée au Gaslight, à New York, cette prestation en public de Mississippi Fred McDowell. Disons le tout de suite ce double album est absolument superbe et regroupe la quasi majorité des grands titres du Maître. Un opus qui se doit de figurer dans toute bonne discothèque blues.

Disque 1 :
1. Shake 'Em On Down
2. Fred's Worried Blues
3. Jesus Is On The Mainline
4. Mercy
5. When The Saints Go Marchin' In
6. Someday Baby
7. The Lovin' Blues
8. You Got To Move
9. White Lightnin'
10. Louise
11. Baby Please Don't Go

Disque 2 :
1. Goin' To The River (Carry My Rocking Chair)
2. Shake 'Em On Down
3. 61 Highway
4. John Henry
5. My Babe
6. I'm Crazy 'Bout You Baby
7. Red Cross Store
8. Levee Camp Blues
9. Good Mornin' Little Schoolgirl
10. Don't Mistreat Nobody (Cause You Got A Few Dimes)
11. Get Right Church
12. Good Night (Spoken Outro)

Devil's Slide a écrit:

C'est en 1971 qu'a été enregistrée au Gaslight, à New York, cette prestation en public de Mississippi Fred McDowell. Disons le tout de suite ce double album est absolument superbe et regroupe la quasi majorité des grands titres du Maître. Un opus qui se doit de figurer dans toute bonne discothèque blues.

Disque 1 :
1. Shake 'Em On Down
2. Fred's Worried Blues
3. Jesus Is On The Mainline
4. Mercy
5. When The Saints Go Marchin' In
6. Someday Baby
7. The Lovin' Blues
8. You Got To Move
9. White Lightnin'
10. Louise
11. Baby Please Don't Go

Disque 2 :
1. Goin' To The River (Carry My Rocking Chair)
2. Shake 'Em On Down
3. 61 Highway
4. John Henry
5. My Babe
6. I'm Crazy 'Bout You Baby
7. Red Cross Store
8. Levee Camp Blues
9. Good Mornin' Little Schoolgirl
10. Don't Mistreat Nobody (Cause You Got A Few Dimes)
11. Get Right Church
12. Good Night (Spoken Outro)

effectivement, tous les essentiels de FMD y sont Merci Devil's

Celui-ci vaut le détour, enfin, à mon avis...

Odé ayant brièvement fait allusion à Otis ‘Big Smokey’ Smothers dans le topic ‘Qui suis-je’, voici quelque temps, il m’a donné l’idée de ressortir cet album où figurait ‘Big Smokey’, l’espace de 7 titres.


Bien m’en a prise de me rafraîchir la mémoire, puisque ce bluesman natif du Mississippi (1929-93), y développe avec bonheur un jeu de guitare solide, appuyé, et encore imprégné Delta (’Sad, Sad day’). Avec de-ci de-là, une touche West-side qui ajoute ses accents drama (’Hello Little School girl’). Même ’Do the thing’, dans une veine hypnotique très Hookeriennne, est des plus réussis.

Cette force tranquille, alliée à un bon timbre de voix, plutôt grave, légèrement embrumé, traînant et un brin nasal, fait d’Otis Smothers une vraie pointure blues, à ne négliger sous aucun prétexte!
Ses propres sessions, où figurent 6 compo, sont millésimées 1984 et 91.
A titre indicatif, il y est accompagné par Eddie Taylor ou John Primer aux guitares, Willie Kent (basse + production), Tim Taylor aux drums et enfin Birmingham Jones et Billy Branch, côté harmonica, excusez du peu…


Quant à Boston Blackie (Bennie Joe Houston), dans un style nettement différent, ses prestations sonnent toutes aussi brillantes.

Une fois évoquée la fin tragique de ce bluesman originaire d’Alabama (abattu en1993 par son pote Tail Dragger Jones, suite à une sordide altercation ayant trait à la répartition des bénéfices d’un Chicago Blues fest où ils s’étaient produits ensemble…Moui, bon, c’est Chicago, n’est-ce pas? Et ils ont le sang chaud, nos bluesmen!…), Blackie s’impose d’emblée très fin guitariste, dans un style beaucoup plus nerveux et infiniment plus complexe que celui de Smothers.
Tout comme son jeu, sa voix se révèle aussi vive. Plus haute que celle de son prédécesseur et légèrement éraillée, elle n’hésite pas à pousser certaines de ses inflexions vers les aigues. Boston Blackie sonne donc très incisif.

Encore ici rythmiquement secondé par Willie Kent (bien que sur 2 titres seulement), les 4 autres étant assurés par le bassiste Michael Riley, on note également à ses côtés la présence de Luther Adams (guitare), et Cleo Williams (batterie). Là, les enreigistrements datent de 1992 et Blackie signe 4 des 6 morceaux proposés.


Bref, tant avec Big Smokey qu’avec Boston Blackie, voilà du Chicago blues comme je l’aime: sobre, efficace et superbement balancé!

certains me reprochent ( ) ici de leur faire péter la CB mais je dois dire que je pourrais retourner ce compliment ...

bon pour l'instant je me suis contenter de rester raisonnable : je l'ai noté sur ma wish list

Bryan Lee dans ses oeuvres

Flovia a écrit:

Celui-ci vaut le détour, enfin, à mon avis...

Odé ayant brièvement fait allusion à Otis ‘Big Smokey’ Smothers dans le topic ‘Qui suis-je’, voici quelque temps, il m’a donné l’idée de ressortir cet album où figurait ‘Big Smokey’, l’espace de 7 titres.


Bien m’en a prise de me rafraîchir la mémoire, puisque ce bluesman natif du Mississippi (1929-93), y développe avec bonheur un jeu de guitare solide, appuyé, et encore imprégné Delta (’Sad, Sad day’). Avec de-ci de-là, une touche West-side qui ajoute ses accents drama (’Hello Little School girl’). Même ’Do the thing’, dans une veine hypnotique très Hookeriennne, est des plus réussis.

Cette force tranquille, alliée à un bon timbre de voix, plutôt grave, légèrement embrumé, traînant et un brin nasal, fait d’Otis Smothers une vraie pointure blues, à ne négliger sous aucun prétexte!
Ses propres sessions, où figurent 6 compo, sont millésimées 1984 et 91.
A titre indicatif, il y est accompagné par Eddie Taylor ou John Primer aux guitares, Willie Kent (basse + production), Tim Taylor aux drums et enfin Birmingham Jones et Billy Branch, côté harmonica, excusez du peu…


Quant à Boston Blackie (Bennie Joe Houston), dans un style nettement différent, ses prestations sonnent toutes aussi brillantes.

Une fois évoquée la fin tragique de ce bluesman originaire d’Alabama (abattu en1993 par son pote Tail Dragger Jones, suite à une sordide altercation ayant trait à la répartition des bénéfices d’un Chicago Blues fest où ils s’étaient produits ensemble…Moui, bon, c’est Chicago, n’est-ce pas? Et ils ont le sang chaud, nos bluesmen!…), Blackie s’impose d’emblée très fin guitariste, dans un style beaucoup plus nerveux et infiniment plus complexe que celui de Smothers.
Tout comme son jeu, sa voix se révèle aussi vive. Plus haute que celle de son prédécesseur et légèrement éraillée, elle n’hésite pas à pousser certaines de ses inflexions vers les aigues. Boston Blackie sonne donc très incisif.

Encore ici rythmiquement secondé par Willie Kent (bien que sur 2 titres seulement), les 4 autres étant assurés par le bassiste Michael Riley, on note également à ses côtés la présence de Luther Adams (guitare), et Cleo Williams (batterie). Là, les enreigistrements datent de 1992 et Blackie signe 4 des 6 morceaux proposés.


Bref, tant avec Big Smokey qu’avec Boston Blackie, voilà du Chicago blues comme je l’aime: sobre, efficace et superbement balancé!

ah, les fameuses sessions de blues chicaguesque du non moins fameux label Wolf, un pur plaisir de great blues électrique !

Et ma foi il faut bien dire qu'encore une fois la présentation de Flo est bien complète,
Le Chicago Blues est à lui seul une histoire du blues avec ses courants divers depuis que les types sont montés du delta avec leur leur guitare et harmonica. Ici on est dans le Chicago moderne, mais il est intéressant de voir comment cela reste avant tout du blues joué par des bluesman.
Très bon disque de blues qui mérite sa place dans cette section.

St. Louis Jimmy: Going Down Slow


Disque sortit en 1961.
- Poor Boy
- Nothin' But the Blues
- Mother's Day Blues
- Some Sweet Day
- Dog House Blues
- My Heart Is Loaded With Trouble
- I'm St. Louis Bound
- Goin' Down Slow
- Sweet As She Can Be
- Monkey Faced Woman

Là on est dans le blues qui tend vers le Jazz, le blues de bar ou de boite, du blues tranquille qui s'écoute quand on est dans un fauteuil profond l'esprit vide.
Jimmy Oden est un pianiste autodidacte qui s'est retrouvé très tôt, livré à lui même.. On l'a retrouvé au coté de Big Joe Williams et Roosevelt Sykes dans les années 30.
Il est l'auteur de quelques classiques du blues que l'on retrouve sur ce disque, comme : Goin' Down Slow repris par Clapton entre autre. Il est ici accompagné par un guitariste d'une grande finesse: Jimmie Lee Robinson.
Dans les années 40 il a accompagné Memphis Minnie, mais ce n'est pas le sujet de ce disque.
Vers la fin de sa vie il fut victime d'un grave accident de la route qui l'a quelque peu éloigné de la scène et a occupé un appartement dans la maison de Muddy Waters où il a cependant continué à composer.

‘Blues de bar’, à savourer relax, un verre à la main, oui, Odé, c’est tout à fait ça!!!

J’aime beaucoup ce genre de piano-blues teinté jazzy!
La voix de Jimmy me séduit toutefois un peu moins. Je ne sais pas, peut-être quelque chose d’irritant pour l’oreille, à la longue? (A petites doses, note bien, c’est parfait!)… Elle est en tout cas très blues!



… Dans une veine bien différente:


Melvin ‘Lil’ Son’ Jackson – ‘Blues come to Texas'



Pour ceux qui prisent le blues acoustique, ce Lil’ Son Jackson-là , c’est d’la balle!

Melvin Jackson (1915- 1976) a été l’une des figures emblématiques du blues texan d’après-guerre, au même titre que Lightnin’ Hopkins, bien qu’il soit moins connu.

Son style de guitare très appuyé, est basé sur un jeu de basses constant, agrémenté d’arpèges, rarement poussés vers les aigus. Cette rythmique favorise chacune de ses notes, même lorsqu’elle tend à s’accélérer. Ainsi détachées, elles sonnent de belle manière.
Je lui trouve d’ailleurs certaines similitudes avec les Big Bill Broonzy acoustiques, même si l’influence de Blind Lemon Jefferson reste indéniable.

Allié à son timbre de voix, légèrement nasal, au phrasé parfois un brin monocorde, il parvient à créer une ambiance entêtante, presque plombante.

On lui doit quelques blues à succès, comme par ex. ’Ticket Agent blues’ ou ‘Rockin & rollin’ (futur ’Rock me baby’)


Parmi les 20 sessions proposées par Arhoolie, datées de 1960, une seule est électrifiée, et toutes sont déclinées dans la plus authentique des expressions, le tandem guitare+voix.
Un régal!!!

1- Blues come to Texas
2- Cairo blues
3- Ticket agent
4- Louise blues
5- Sugar Mama
6- The girl I love
7- Santa Fe blues
8- Turn your lamp down low
9- Groundhog blues
10- Gambler blues
11- Charley cherry (take 1)
12- Charley cherry (take 2)
13- West Dallas blues
14- Rollin’ mill went down
15- Red river blues
16- Johnnie Mae
17- Buck dance
18- I walk from Dallas
19- Rock me
20- Roberta blues

Pour découvrir Lil’ Son, qq albums sont en écoute sur Deezer ---> ICI , pourtant je persiste à trouver l'enregistrement Arhoolie ci-dessus nettement supérieur!

Toi qui aime les bons blues, penche toi sur celui là.
Tampa Red: Don’t Tampa With The Blues



- I'm A Stranger Here
- Let Me Play With Your Poodle
- Goodbye, Baby
- Things About Coming My Way
- Kansas City Blues
- You Better Do Right
- Louise Blues
- It's Tight Like That
- You Got To Love Her With A Feeling
- Boogie Woogie Woman

Enregistré en 1960 à Chicago, Tampa Red Chante à la perfection et gratte une acoustique que je pourrais pas te dire la marque, mais il en fait un usage merveilleux quelquefois entrecoupé par du Kazou dont il use à bon escient et démontre encore une fois son talent même sur cet instrument à priori pas adapté pour le blues.
C'est incontestablement le meilleur album de Tampa Red qui nous délivre ici un blues authentique et intimiste, tiens, j'ai l'impression qu'il est à coté de moi là et qu'il joue pour moi tout seul. Et cette voix, my god quelle voix.

D'abord, y'a aucune raison que Tampa ne joue que pour toi! M'enfin!!!
Ensuite, c'est vrai que sa voix est pure! Voilà donc deux bonnes raisons pour se pencher sur cet album.
... Tout ça pour te dire que c'est déjà noté...

Muddy Waters – 'The folk singer'
(Le Chess 1964 original, masterisé MFSL 1993, plus deux bonus)

Cette parution comporte les 9 titres initiaux enregistrés en 1963, purs Delta acoustique, ‘back porch blues’ par excellence: un régal!

1- My home is in the Delta**
2- Long distance**
3- My captain
4- Good morning scholl girl**
5- You gonna need my help**
6- Cold weather blues
7- Big leg woman
8- Country boy**
9- Feel like going home**
10- You can lose what you get (bonus track)
11- The same thing (bonus track)

A noter que la première version Chess LP comporte les 9 premiers titres. Il existe une autre parution CD, avec encore 3 bonus tracks en supplément des 2 derniers.

En écoute ici : http://www.musicme.com/Muddy-Waters/albums/The-Folk-Singer-0008811202729.html

Lineup :

Muddy Waters : Guitare acoustique + vocaux
Willie Dixon : Contrebasse
Buddy Guy : Guitare additionnelle
Clifton James : Batterie sur les morceaux suivants (cf: **)


’My home is in the Delta’, ‘Long distance’,’Captain’, ‘You gonna need my help’, ‘Cold weather’, ‘Feel like goin home’, entre autres, sont sublimes!
Les deux titres en bonus, eux aussi excellents, sont assez bizarrement (au regard de l'intitulé de l’album, du moins) dans une veine très Chicago, avec la participation notable d’Otis Spann (n° 10 & 11).


En résumé, des sessions à ne louper sous aucun prétexte , dans la lignée des fameux Muddy ’Complete Plantation Recordings 1941-42’ de chez Chess!!!

Moi j'ai cette version là:

[img][/img]

Les mêmes titres avec en plus:
John my conqueror root, short dress woman et put me in your lay away

C'est à la fois mon disque préféré de Muddy et un des plus grands disques de blues de tous les temps pour moi.
Quand j'écoute Blues Singer de Buddy Guy, je me dis que c'est un excellent disque, quand j'écoute Folk Singer, je me dis que c'est un chef d'oeuvre, un pur joyau.

Alex Duthil qui passe de temps en temps des morceaux de ce disque dans open jazz sur France Musique déclarait un soir que le son de cet album est encore une référence pour les ingé son en studio.

c'est également mon avis : l'un des plus grands disques de blues de tous les temps

un satané son du diable effectivement !

chef-d'oeuvre absolu de blues/rock d'un bluesman de grande lignée, au son raide & brut, direct au foie en passant par les oreilles !!!

Rarement cité lorsque l'on effectue une recherche discographique du Mr.
C'est pourtant l'un de ses meilleurs albums.



Enregistré à Paris en 1984 pour Black And Blue.

Billy Boy Arnold (vocals, harmonica)
John Watkins, Jimmy Johnson (guitar)
James Bryant (piano)
Larry Exum (Bass)
Fred Grady (drums).

Avec entre autre, une formidable reprise de Trust Me Baby de Sonny Boy Williamson 2

1. Ten Million Dollars
2. I Wish You Would
3. Trust Me Baby
4. My Babe
5. Just A Little Bit
6. Going Home
7. Yellow Roses From Texas (Just Love Won't Do)
8. Last Night
9. I Done Got Over It
10. Sugar Mama

Quelques extraits:

http://www.amazon.com/gp/recsradio/radio/B0000014PS/ref=pd_krex_dp_001_001?ie=UTF8&track=001&disc=001
Ou:
http://www.cduniverse.com/productinfo.asp?pid=1044101

blues53 a écrit:Rarement cité lorsque l'on effectue une recherche discographique du Mr.
C'est pourtant l'un de ses meilleurs albums.



Enregistré à Paris en 1984 pour Black And Blue.

Billy Boy Arnold (vocals, harmonica)
John Watkins, Jimmy Johnson (guitar)
James Bryant (piano)
Larry Exum (Bass)
Fred Grady (drums).

Avec entre autre, une formidable reprise de Trust Me Baby de Sonny Boy Williamson 2

1. Ten Million Dollars
2. I Wish You Would
3. Trust Me Baby
4. My Babe
5. Just A Little Bit
6. Going Home
7. Yellow Roses From Texas (Just Love Won't Do)
8. Last Night
9. I Done Got Over It
10. Sugar Mama

Quelques extraits:

http://www.amazon.com/gp/recsradio/radio/B0000014PS/ref=pd_krex_dp_001_001?ie=UTF8&track=001&disc=001
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Soulignement pertinent & justifié !!