Michael Brecker (1949-2007)
5 participants
Page 1 sur 1
Michael Brecker (1949-2007)
Ce saxophoniste qui a marqué la période de l'après John Coltrane, nous a quitté le 13 Janvier 2007.
Voici une copie d'un bel article qui résume bien la carrière de Michael Brecker.
Michael Brecker à bout de souffle
Le saxophoniste américain fan de Coltrane a été emporté à 57 ans par une leucémie.
Par Serge LOUPIEN (Libération: mardi 16 janvier 2007)
Pat Metheny avait coutume de les présenter comme les «Philadelphians incandescents». Parce qu'à l'instar de la plupart des musiciens ayant eu affaire à eux il les jugeait indissociables. Ne sévissaient-ils pas alors sous le nom générique des «Brecker Brothers» ? Tout deux natifs de Philadelphie, Pennsylvanie, ville réputée pour son port, ses jazzmen (Kenny Barron, Benny Golson, Philly Joe Jones...), ses salles de boxe et cette statue désopilante (un vestige de Rocky III) que la municipalité s'apprête à dépoussiérer, Randy (27 novembre 1945) et Michael (29 mars 1949) Brecker sont devenus, en trente-cinq ans d'exercice, des rouages essentiels de la musique populaire américaine.
Ténor. Le cadet, d'abord obsédé par le souffleur texan Jimmy Giuffre, n'avait pas encore échangé sa clarinette contre un saxophone que son aîné sévissait déjà chez Blood, Sweat and Tears, orchestre formé à New York par le pianiste Al Kooper pour concurrencer Chicago Transit Authority. Et tandis que Randy, entre deux tournées, accompagnait Stevie Wonder, Janis Joplin, Clark Terry, Cheech and Chong ou Art Blakey, Michael, ténor désormais confirmé, se nourrissait de Jimi Hendrix, Cream et Blind Faith, tout en transcrivant les solos de Coltrane et Charlie Parker. «J'apppréciais aussi la façon dont Ben Webster, Coleman Hawkins et Stan Getz interprétaient des ballades, dira-t-il plus tard. Mais la découverte de Coltrane a joué un rôle déterminant sur l'orientation de ma carrière.»
C'est en 1969, via la constitution de Dreams, groupe qui compta en ses rangs le batteur Billy Cobham et le guitariste John Abercrombie, que la fratrie appelée à faire bloc allait s'imposer. Auprès des autres musiciens surtout. Trop en avance sur son époque, difficile à étiqueter, Dreams se saborde spectaculairement après deux albums aux ventes confidentielles. Ses cofondateurs louent alors leurs services à qui le souhaite : James Taylor, Yoko Ono, Steely Dan, Joni Mitchell, James Brown, Frank Sinatra, Frank Zappa, Bruce Springsteen... «On nous a suspectés de faire ça pour le cachet, admettra Michael Brecker. Ce n'était vrai qu'en partie. Nous le faisions aussi pour l'expérience et par besoin de diversité.»
Jalons. Lassés pourtant de multiplier les séances, Randy et Michael montent un nouveau combo en 1975 : The Brecker Brothers. Objectif : adapter la virtuosité be-bop à la rigueur rythmique funky. Une démarche qui, si elle séduit un jeune public enchanté, va attirer sur les frères les foudres de la presse spécialisée. Michael : «On nous a accusés de sombrer dans la facilité. Alors que l'entreprise était on ne peut plus sérieuse.» Elle durera six albums Arista, posant les jalons d'un jazz-funk sans lequel ni l'acid jazz ni le new jack swing n'auraient existé.
Parallèlement, les Brecker se sont offert un club à New York, le Seven South Avenue, afin d'y accueillir de nombreux invités, dont Mike Mainieri, Steve Gadd et Eddie Gomez, appelés à constituer, en compagnie de Michael, l'ossature de Five Easy Pieces (vague compromis entre Weather Report et Franky Beverly), qui deviendra Steps Ahead en 1982.
Cette fois, le chemin des deux frères est condamné à diverger (ils se retrouveront brièvement en 1992). Randy intègre le big band de Jaco Pastorius, Michael tente l'aventure solo chez Impulse, avec un disque éponyme qui, en 1986, lui vaut le titre d' «artiste jazz de l'année». Distinction qui agit comme un déclic pour ce polyvalent étrangement réservé. «Je craignais de m'exposer, avouera-t-il, une espèce de frayeur infantile me poussait à rechercher le confort des groupes, où décisions et déceptions sont partagées.»
Polémique. C'est donc un instrumentiste motivé qui, dès son album suivant, Don't Try This At Home , se familiarise avec l'emploi de l'EWI, ou Steinerophone, «instrument commercialisé par Akai offrant de nouvelles possibilités sonores, mais ne constituant guère un substitut au saxophone». Précision intéressante. Car Michael Brecker a longtemps été objet de polémique sur la planète des souffleurs. Les requins de studio ne cessant de louer sa justesse et sa sonorité, tandis que les anches fêlées lui reprochaient sa prétendue froideur. Critiques et thuriféraires devaient se réconcilier autour de Nearness of You : The Ballad Book, recueil produit en 2001 par Pat Metheny, et surtout en apprenant, quatre ans plus tard, la nature du mal (leucémie) dont le ténor était frappé. Mal qui l'a achevé samedi dans l'établissement new-yorkais où il était hospitalisé. Michael Brecker avait 57 ans.
Voici une copie d'un bel article qui résume bien la carrière de Michael Brecker.
Michael Brecker à bout de souffle
Le saxophoniste américain fan de Coltrane a été emporté à 57 ans par une leucémie.
Par Serge LOUPIEN (Libération: mardi 16 janvier 2007)
Pat Metheny avait coutume de les présenter comme les «Philadelphians incandescents». Parce qu'à l'instar de la plupart des musiciens ayant eu affaire à eux il les jugeait indissociables. Ne sévissaient-ils pas alors sous le nom générique des «Brecker Brothers» ? Tout deux natifs de Philadelphie, Pennsylvanie, ville réputée pour son port, ses jazzmen (Kenny Barron, Benny Golson, Philly Joe Jones...), ses salles de boxe et cette statue désopilante (un vestige de Rocky III) que la municipalité s'apprête à dépoussiérer, Randy (27 novembre 1945) et Michael (29 mars 1949) Brecker sont devenus, en trente-cinq ans d'exercice, des rouages essentiels de la musique populaire américaine.
Ténor. Le cadet, d'abord obsédé par le souffleur texan Jimmy Giuffre, n'avait pas encore échangé sa clarinette contre un saxophone que son aîné sévissait déjà chez Blood, Sweat and Tears, orchestre formé à New York par le pianiste Al Kooper pour concurrencer Chicago Transit Authority. Et tandis que Randy, entre deux tournées, accompagnait Stevie Wonder, Janis Joplin, Clark Terry, Cheech and Chong ou Art Blakey, Michael, ténor désormais confirmé, se nourrissait de Jimi Hendrix, Cream et Blind Faith, tout en transcrivant les solos de Coltrane et Charlie Parker. «J'apppréciais aussi la façon dont Ben Webster, Coleman Hawkins et Stan Getz interprétaient des ballades, dira-t-il plus tard. Mais la découverte de Coltrane a joué un rôle déterminant sur l'orientation de ma carrière.»
C'est en 1969, via la constitution de Dreams, groupe qui compta en ses rangs le batteur Billy Cobham et le guitariste John Abercrombie, que la fratrie appelée à faire bloc allait s'imposer. Auprès des autres musiciens surtout. Trop en avance sur son époque, difficile à étiqueter, Dreams se saborde spectaculairement après deux albums aux ventes confidentielles. Ses cofondateurs louent alors leurs services à qui le souhaite : James Taylor, Yoko Ono, Steely Dan, Joni Mitchell, James Brown, Frank Sinatra, Frank Zappa, Bruce Springsteen... «On nous a suspectés de faire ça pour le cachet, admettra Michael Brecker. Ce n'était vrai qu'en partie. Nous le faisions aussi pour l'expérience et par besoin de diversité.»
Jalons. Lassés pourtant de multiplier les séances, Randy et Michael montent un nouveau combo en 1975 : The Brecker Brothers. Objectif : adapter la virtuosité be-bop à la rigueur rythmique funky. Une démarche qui, si elle séduit un jeune public enchanté, va attirer sur les frères les foudres de la presse spécialisée. Michael : «On nous a accusés de sombrer dans la facilité. Alors que l'entreprise était on ne peut plus sérieuse.» Elle durera six albums Arista, posant les jalons d'un jazz-funk sans lequel ni l'acid jazz ni le new jack swing n'auraient existé.
Parallèlement, les Brecker se sont offert un club à New York, le Seven South Avenue, afin d'y accueillir de nombreux invités, dont Mike Mainieri, Steve Gadd et Eddie Gomez, appelés à constituer, en compagnie de Michael, l'ossature de Five Easy Pieces (vague compromis entre Weather Report et Franky Beverly), qui deviendra Steps Ahead en 1982.
Cette fois, le chemin des deux frères est condamné à diverger (ils se retrouveront brièvement en 1992). Randy intègre le big band de Jaco Pastorius, Michael tente l'aventure solo chez Impulse, avec un disque éponyme qui, en 1986, lui vaut le titre d' «artiste jazz de l'année». Distinction qui agit comme un déclic pour ce polyvalent étrangement réservé. «Je craignais de m'exposer, avouera-t-il, une espèce de frayeur infantile me poussait à rechercher le confort des groupes, où décisions et déceptions sont partagées.»
Polémique. C'est donc un instrumentiste motivé qui, dès son album suivant, Don't Try This At Home , se familiarise avec l'emploi de l'EWI, ou Steinerophone, «instrument commercialisé par Akai offrant de nouvelles possibilités sonores, mais ne constituant guère un substitut au saxophone». Précision intéressante. Car Michael Brecker a longtemps été objet de polémique sur la planète des souffleurs. Les requins de studio ne cessant de louer sa justesse et sa sonorité, tandis que les anches fêlées lui reprochaient sa prétendue froideur. Critiques et thuriféraires devaient se réconcilier autour de Nearness of You : The Ballad Book, recueil produit en 2001 par Pat Metheny, et surtout en apprenant, quatre ans plus tard, la nature du mal (leucémie) dont le ténor était frappé. Mal qui l'a achevé samedi dans l'établissement new-yorkais où il était hospitalisé. Michael Brecker avait 57 ans.
Mojo- Delta King
- Nombre de messages : 353
Localisation : 78
Date d'inscription : 26/11/2005
Re: Michael Brecker (1949-2007)
Merci pour cette belle bio, Mojo!
J'avoue mal connaître ce saxophoniste, j'ai jamais vraiment réussi à accrocher à son phrasé...
Quels sont les albums que tu recommandes à un fan de Coltrane mais pas de Chris Potter ???
J'avoue mal connaître ce saxophoniste, j'ai jamais vraiment réussi à accrocher à son phrasé...
Quels sont les albums que tu recommandes à un fan de Coltrane mais pas de Chris Potter ???
Invité- Invité
Re: Michael Brecker (1949-2007)
A la demande générale, voici une petite discographie sélective de Michael Brecker.
Sideman
Michael Brecker, à l’instar de nombreux musiciens ayant percés dans les 80’s, a multiplié les sessions en tant que sideman pour des artistes US inconnus; mais aussi des sommités comme: Luther Allison, Roy Buchanan, John Lennon, Pat Metheny,Joni Mitchell, Herbie Hancock, Steely Dan.
"Frank Zappa, Live In New York"
Un cd hautement recommandable où Michael Brecker intègre la section de cuivre et nous gratifie de quelques solos sympas.
"Billy Cobham, A Funky Thide of Sings"
Un des excellents cd du batteur Billy Cobham où il fait une pige remarquable.
The Breckers Brothers
Avec son frère, l’éminent trompettiste Randy Brecker, il a formé un groupe qui était la référence en terme de Jazz funk, et qui a accueilli les meilleurs de musiciens de studio de l’époque. La tradition de ce groupe est perpétuée par Randy Brecker et ses amis; j'aurais l'occasion d'en reparler.
"Straphangin'"
Ce cd des Brecker Brothers est une merveille qui mérite de figurer parmi les indispensables du Jazz fusion.
Steps Ahead Live in tokyo 1986
Un Cd du groupe fondé par Michael Brecker et le vibraphoniste Mike Maineri. Un monument du jazz fusion avec les meilleurs musiciens possibles. Michael Brecker développe tout son lyrisme et de toute sa puissance ; une pèche d’enfer ; ça n’a pas pris une ride. (existe en DVD)
Carrière solo
Don’t try this at home
Mon cd préfèré de Michael Brecker; où il fait étalage de tout son talent et où il est accompagné du gratin de la scène Jazz.
Time is of the essence
Le genre de cd que j’adore, parce qu’il renoue avec une formule popularisé par Wes Montgomery et Jimmy Smith ; mais avec une touche moderne due à la présence de l’orgue joué par Joey Calderazzo, et de la guitare de son pote Pat Metheny.
Sideman
Michael Brecker, à l’instar de nombreux musiciens ayant percés dans les 80’s, a multiplié les sessions en tant que sideman pour des artistes US inconnus; mais aussi des sommités comme: Luther Allison, Roy Buchanan, John Lennon, Pat Metheny,Joni Mitchell, Herbie Hancock, Steely Dan.
"Frank Zappa, Live In New York"
Un cd hautement recommandable où Michael Brecker intègre la section de cuivre et nous gratifie de quelques solos sympas.
"Billy Cobham, A Funky Thide of Sings"
Un des excellents cd du batteur Billy Cobham où il fait une pige remarquable.
The Breckers Brothers
Avec son frère, l’éminent trompettiste Randy Brecker, il a formé un groupe qui était la référence en terme de Jazz funk, et qui a accueilli les meilleurs de musiciens de studio de l’époque. La tradition de ce groupe est perpétuée par Randy Brecker et ses amis; j'aurais l'occasion d'en reparler.
"Straphangin'"
Ce cd des Brecker Brothers est une merveille qui mérite de figurer parmi les indispensables du Jazz fusion.
Steps Ahead Live in tokyo 1986
Un Cd du groupe fondé par Michael Brecker et le vibraphoniste Mike Maineri. Un monument du jazz fusion avec les meilleurs musiciens possibles. Michael Brecker développe tout son lyrisme et de toute sa puissance ; une pèche d’enfer ; ça n’a pas pris une ride. (existe en DVD)
Carrière solo
Don’t try this at home
Mon cd préfèré de Michael Brecker; où il fait étalage de tout son talent et où il est accompagné du gratin de la scène Jazz.
Time is of the essence
Le genre de cd que j’adore, parce qu’il renoue avec une formule popularisé par Wes Montgomery et Jimmy Smith ; mais avec une touche moderne due à la présence de l’orgue joué par Joey Calderazzo, et de la guitare de son pote Pat Metheny.
Mojo- Delta King
- Nombre de messages : 353
Localisation : 78
Date d'inscription : 26/11/2005
Re: Michael Brecker (1949-2007)
merci pour tous ces renseignements. Je ne connais que de nom alors je vais tenter un cd (pas celui avec Zappa en tout cas) pour me faire une petite idée.
je ne savais pas qu'il avait joué avec Buchanan
je ne savais pas qu'il avait joué avec Buchanan
_________________
The blues are the roots
The rest are the fruits
http://aupaysdublues.free.fr/index.php
Re: Michael Brecker (1949-2007)
Vu il y a quelques années en compagnie de McCoy Tyner : reprise inoubliable de "Impressions".
J'aime aussi beaucoup sa participation au "Live In New York" de Zappa.
Les premiers Brecker Brothers ou l'album de Cobham sont effectivement à conseiller.
Je ne suis pas convaincu par toute sa production, mais c'était un sacré saxophoniste.
Pour les amateurs de musique moins compliquée, plus rock : écouter l'album de son premier groupe connu (Dreams). Pas à des années lumière de l'Electric Flag, c'est un très bon disque (chanté).
J'aime aussi beaucoup sa participation au "Live In New York" de Zappa.
Les premiers Brecker Brothers ou l'album de Cobham sont effectivement à conseiller.
Je ne suis pas convaincu par toute sa production, mais c'était un sacré saxophoniste.
Pour les amateurs de musique moins compliquée, plus rock : écouter l'album de son premier groupe connu (Dreams). Pas à des années lumière de l'Electric Flag, c'est un très bon disque (chanté).
Re: Michael Brecker (1949-2007)
Jungleland a écrit:merci pour tous ces renseignements. Je ne connais que de nom alors je vais tenter un cd (pas celui avec Zappa en tout cas) pour me faire une petite idée.
je ne savais pas qu'il avait joué avec Buchanan
Il s'agit de "A Street called straight".
Ok, c'est pas le meilleur Buchanan, mais Michael et Randy Brecker ont touché un chêque.
On entend Michael Brecker sur le duo d'introduction avec le guitar hero dans "my friend Jeff"; le seul morceau du cd à peut près écoutable avec "If six was nine".
Mojo- Delta King
- Nombre de messages : 353
Localisation : 78
Date d'inscription : 26/11/2005
Re: Michael Brecker (1949-2007)
tu es dur avec cet album !
j'ai l'album mais je n'avais pas du tout vu que Brecker était dessus. Je vais me réécouter ça ce soir
j'ai l'album mais je n'avais pas du tout vu que Brecker était dessus. Je vais me réécouter ça ce soir
_________________
The blues are the roots
The rest are the fruits
http://aupaysdublues.free.fr/index.php
Re: Michael Brecker (1949-2007)
luther a écrit:Ecouté ce matin justement avec McCoy Tyner, impressionné
C'est lors de cette tournée que je l'avais vu. Les concerts étaient LARGEMENT au-dessus de l'album (dont les thèmes sont malheureusement un peu faiblards...).
Par contre, la reprise de "Impressions" se pose là...
Sinon, je n'avais jamais vu cette pochette de Roy Buchanan (même si je connais sa reprise de Jimi, pas mal du tout d'ailleurs).
Re: Michael Brecker (1949-2007)
Merci beaucoup pour cette excellente bio Ayler on sent ta passion pour cette musique c'est palpable !
J'aimais beaucoup Michael Brecker j'ai un superbe disque de Steps Ahead avec Mike Maineri et la musique joué la dedans m'a longtemps fasciné
Si je ne m'abuse il etait aussi dans certains disques des Steely Dan que j'adore
bref une grande perte pour le jazz moderne
Jipes
J'aimais beaucoup Michael Brecker j'ai un superbe disque de Steps Ahead avec Mike Maineri et la musique joué la dedans m'a longtemps fasciné
Si je ne m'abuse il etait aussi dans certains disques des Steely Dan que j'adore
bref une grande perte pour le jazz moderne
Jipes
_________________
Jipes sur Youtube
Jipes Blues
Re: Michael Brecker (1949-2007)
enfin c'est plutôt Mojo pour la bio mais c'est pas grave
_________________
The blues are the roots
The rest are the fruits
http://aupaysdublues.free.fr/index.php
Re: Michael Brecker (1949-2007)
Jungleland a écrit:enfin c'est plutôt Mojo pour la bio mais c'est pas grave
Ces temps ci je suis complètement à la ramasse désolé
Rendons à mojo ce qui appartient à Mojo
jipes
_________________
Jipes sur Youtube
Jipes Blues
Re: Michael Brecker (1949-2007)
Alors rendons aussi à Serge LOUPIEN ce qui appartient à Serge LOUPIENJipes a écrit:Jungleland a écrit:enfin c'est plutôt Mojo pour la bio mais c'est pas grave
Ces temps ci je suis complètement à la ramasse désolé
Rendons à mojo ce qui appartient à Mojo
jipes
Invité- Invité
Re: Michael Brecker (1949-2007)
pg a écrit:Merci pour cette belle bio, Mojo!
J'avoue mal connaître ce saxophoniste, j'ai jamais vraiment réussi à accrocher à son phrasé...
Quels sont les albums que tu recommandes à un fan de Coltrane mais pas de Chris Potter ???
Euh...... il faudrait que tu nous en dise plus; pourquoi opposer Chris Potter à Coltrane ?
Mojo- Delta King
- Nombre de messages : 353
Localisation : 78
Date d'inscription : 26/11/2005
Re: Michael Brecker (1949-2007)
Mojo a écrit:pg a écrit:Merci pour cette belle bio, Mojo!
J'avoue mal connaître ce saxophoniste, j'ai jamais vraiment réussi à accrocher à son phrasé...
Quels sont les albums que tu recommandes à un fan de Coltrane mais pas de Chris Potter ???
Euh...... il faudrait que tu nous en dise plus; pourquoi opposer Chris Potter à Coltrane ?
Je me rapelle avoir acheté un Chris Potter et ca m'avait agréablement surpris mais je ne sais plus quel album il faudrait que je fouille sur mes tablettes
Jipes
_________________
Jipes sur Youtube
Jipes Blues
Sujets similaires
» Eté 2007 - Pura Fe: Hold the rain (Dixiefrog 2007)
» RIP Michael Lee
» Michael Hill
» Michael Powers
» Michael "Iron Man" Burks
» RIP Michael Lee
» Michael Hill
» Michael Powers
» Michael "Iron Man" Burks
Page 1 sur 1
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
|
|
Dim 28 Avr 2024 - 10:43 par tiludog
» ce que vous écoutez en ce moment!
Sam 9 Mar 2024 - 16:48 par Hoochie
» blues,what else?
Mer 20 Déc 2023 - 14:46 par Gallaguerre
» Unlimited Blues Time
Mar 5 Déc 2023 - 14:35 par Jipes
» Jimi Hendrix
Mer 15 Nov 2023 - 4:36 par fred-51
» blues au slide et wha wha
Lun 13 Nov 2023 - 20:06 par Mirage3
» SOME DROPS OF WATER
Jeu 2 Nov 2023 - 8:49 par Pierre-Emmanuel GILLET
» Clarence 'Guitar' Sims, aka Fillmore Slim
Jeu 21 Sep 2023 - 11:01 par rapido1
» Festival Mécleuves Terre de Blues 01 et 02 09/2023
Dim 20 Aoû 2023 - 23:14 par Jipes