Marcus King – El dorado (2020)
Page 1 sur 1
06042020
Marcus King – El dorado (2020)
Marcus King – El dorado (2020)
Date de sortie : Janvier 2020
Label : Fantasy records
Pays : Etats-Unis
Genre : Rock, pop, soul, r'n'b, ballades country, rock sudiste
Liste des titres :
01- Young man's dream
02- The well
03-Wild flowers & wine
04- Sweet Mariona
05- Beautiful stranger
06- Break
07- Say you will
08- Turn it up
09- Too much whiskey
10- Love song
11- No pain
Personnel :
Marcus King/ guitares électriques & acoustiques, chant ; Russ Pahl, Billy Sanford/ guitares ; Dan Auerbach/ Guitares électrique & acoustique, basse, choeurs ; Paul Franklin/steel guitar ; Dave Roe/basse ; Gene Chrisman/ batterie ; Chris St Hilaire/ percussion ; Bobby Wood/ claviers, Wurlitzer; Mike Rojas/ piano, B3, glockenspiel, vibra ; Sam Bacco/ percussions, vibra ; Ray Jacildo/Vibraphone, Glockenspiel, Harpsichord, Orgue B3 ;
Choeurs : Ashley Wilcoxson, Leisa Hans, Ronnie Bowman
Produit et co-écrit par Dan Auerbach, le guitariste-chanteur des Black Keys.
Marcus King – No pain
Love song
The well
One day she's here
Wild flowers & wine
https://youtu.be/5XQPAB0tzWo
Break
https://youtu.be/CuX4hxVlsO4
Turn it up
https://youtu.be/82Jd0eR4CoA
Say you will
Sweet Mariona
https://youtu.be/r_-ydr_0wxk
Beautiful stranger
https://youtu.be/du1wUMmRCwU
Date de sortie : Janvier 2020
Label : Fantasy records
Pays : Etats-Unis
Genre : Rock, pop, soul, r'n'b, ballades country, rock sudiste
Liste des titres :
01- Young man's dream
02- The well
03-Wild flowers & wine
04- Sweet Mariona
05- Beautiful stranger
06- Break
07- Say you will
08- Turn it up
09- Too much whiskey
10- Love song
11- No pain
Personnel :
Marcus King/ guitares électriques & acoustiques, chant ; Russ Pahl, Billy Sanford/ guitares ; Dan Auerbach/ Guitares électrique & acoustique, basse, choeurs ; Paul Franklin/steel guitar ; Dave Roe/basse ; Gene Chrisman/ batterie ; Chris St Hilaire/ percussion ; Bobby Wood/ claviers, Wurlitzer; Mike Rojas/ piano, B3, glockenspiel, vibra ; Sam Bacco/ percussions, vibra ; Ray Jacildo/Vibraphone, Glockenspiel, Harpsichord, Orgue B3 ;
Choeurs : Ashley Wilcoxson, Leisa Hans, Ronnie Bowman
Produit et co-écrit par Dan Auerbach, le guitariste-chanteur des Black Keys.
Marcus King – No pain
Love song
The well
One day she's here
Wild flowers & wine
https://youtu.be/5XQPAB0tzWo
Break
https://youtu.be/CuX4hxVlsO4
Turn it up
https://youtu.be/82Jd0eR4CoA
Say you will
Sweet Mariona
https://youtu.be/r_-ydr_0wxk
Beautiful stranger
https://youtu.be/du1wUMmRCwU
Flovia- The voice of Bluesland
- Nombre de messages : 7510
Age : 66
Localisation : Dordogne
Date d'inscription : 19/03/2009
Marcus King – El dorado (2020) :: Commentaires
J'imagine que beaucoup adorent ce premier solo, et c'est vrai qu'en substance il est bien ficelé. Encore exact qu'une large audience lui est promise parmi les auditeurs ne recherchant pas le nec plus ultra en matière de blues, ou de jazz. De mon côté, cet album me semble néanmoins cruellement manquer d'ambition, un tel exercice me paraissant sombrer dans la facilité.
Ce talentueux guitariste et chanteur nous avait habitués à mieux, en particulier sur les deux premiers opus du Marcus King band.
Aussi, quelque soit la notoriété d'Auerbach, le jeune Marcus, ferait bien, pour encore un temps, de regagner le giron de Warren Haynes, mentor, à mon sens, d'une toute autre dimension.
Ce talentueux guitariste et chanteur nous avait habitués à mieux, en particulier sur les deux premiers opus du Marcus King band.
Aussi, quelque soit la notoriété d'Auerbach, le jeune Marcus, ferait bien, pour encore un temps, de regagner le giron de Warren Haynes, mentor, à mon sens, d'une toute autre dimension.
On est pas tout à fait d'accord !
Marcus King continue son parcours musical avec la sortie de son premier album solo. Et c’est l’inévitable Dan Auerbach qui est aux manettes dans son désormais célèbre studio Easy Eye Sound de Nashville. Inévitable certes, mais compétent, et, comme pour le dernier album de Jimmy « Duck » Holmes, l’homme des Black Keys sent particulièrement bien la personnalité des musiciens et ne cherche pas à tirer la couverture à lui. Outre Auerbach les douze titres de l’album ont été co-écrits par trois auteurs différents : Paul Overstreet (un compositeur de country), Ronnie Bowman (qui a écrit pour Chris Stapleton) et Pat McLaughlin autre song-writer prolixe de Nashville. Des musiciens de studio de la trempe de Gene Chrisman à la batterie et Bobby Wood aux claviers ont été embauchés pour accompagner Marcus. Ainsi la diversité des auteurs se retrouve dans les chansons, avec bien sûr de superbes passages de guitare électrique, mais aussi de belles parties acoustiques et la subtilité du son de la pedal-steel.
« Young Man's Dream » qui ouvre l’opus, est représentatif de cette approche solo originale, avec une superbe introduction à la guitare acoustique, puis la voix claire de Marcus se pose avant quelques chorus enflammés. « The Well » premier single extrait de l’album est par contre proche du travail de Marcus avec son groupe, mais néanmoins un son différent, on sent le coup de patte nashvillien dans le bon sens du terme. Puis Marcus plonge dans ses racines, cette musique proche des Appalaches, dans une recherche assez proche de Warren Haynes quand il joue avec son groupe. On s’éloigne du blues-rock pour s’enfoncer dans une sorte de country-soul, plutôt subtile, avec des tempos assez lents qui laissent respirer la musique, bercée par les effluves de pedal-steel. ‘Sweet Mariona » par exemple, pourrait figurer en bonne place dans le répertoire de Chris Stapleton.
A l’évidence, notre Marcus se contrefout des étiquettes, et cherche à explorer différents genres, en tentant des synthèses, qui sont plutôt réussies. On remarque surtout que la voix, bien captée et mise en avant, est belle, chose que nous ne percevons pas toujours, tant elle est parfois noyée en live dans les shows du Marcus King Band. Et sur « Say You Will » rappelle à tout le monde qu’il est un superbe guitariste, avec un toucher superbe, un lyrisme flamboyant, bref un très grand. Pour son premier essai solo, exercice toujours difficile où beaucoup se sont cassées les dents, voire ridiculisés, Marcus démontre qu’il est curieux, qu’il cherche d’autres voies, qu’il ne se cache pas derrière une flopée d’invités plus ou moins prestigieux. Son album original, diversifié, d’un haut niveau qui confirme qu’il est un des grands musiciens de la scène américaine.
Marcus King continue son parcours musical avec la sortie de son premier album solo. Et c’est l’inévitable Dan Auerbach qui est aux manettes dans son désormais célèbre studio Easy Eye Sound de Nashville. Inévitable certes, mais compétent, et, comme pour le dernier album de Jimmy « Duck » Holmes, l’homme des Black Keys sent particulièrement bien la personnalité des musiciens et ne cherche pas à tirer la couverture à lui. Outre Auerbach les douze titres de l’album ont été co-écrits par trois auteurs différents : Paul Overstreet (un compositeur de country), Ronnie Bowman (qui a écrit pour Chris Stapleton) et Pat McLaughlin autre song-writer prolixe de Nashville. Des musiciens de studio de la trempe de Gene Chrisman à la batterie et Bobby Wood aux claviers ont été embauchés pour accompagner Marcus. Ainsi la diversité des auteurs se retrouve dans les chansons, avec bien sûr de superbes passages de guitare électrique, mais aussi de belles parties acoustiques et la subtilité du son de la pedal-steel.
« Young Man's Dream » qui ouvre l’opus, est représentatif de cette approche solo originale, avec une superbe introduction à la guitare acoustique, puis la voix claire de Marcus se pose avant quelques chorus enflammés. « The Well » premier single extrait de l’album est par contre proche du travail de Marcus avec son groupe, mais néanmoins un son différent, on sent le coup de patte nashvillien dans le bon sens du terme. Puis Marcus plonge dans ses racines, cette musique proche des Appalaches, dans une recherche assez proche de Warren Haynes quand il joue avec son groupe. On s’éloigne du blues-rock pour s’enfoncer dans une sorte de country-soul, plutôt subtile, avec des tempos assez lents qui laissent respirer la musique, bercée par les effluves de pedal-steel. ‘Sweet Mariona » par exemple, pourrait figurer en bonne place dans le répertoire de Chris Stapleton.
A l’évidence, notre Marcus se contrefout des étiquettes, et cherche à explorer différents genres, en tentant des synthèses, qui sont plutôt réussies. On remarque surtout que la voix, bien captée et mise en avant, est belle, chose que nous ne percevons pas toujours, tant elle est parfois noyée en live dans les shows du Marcus King Band. Et sur « Say You Will » rappelle à tout le monde qu’il est un superbe guitariste, avec un toucher superbe, un lyrisme flamboyant, bref un très grand. Pour son premier essai solo, exercice toujours difficile où beaucoup se sont cassées les dents, voire ridiculisés, Marcus démontre qu’il est curieux, qu’il cherche d’autres voies, qu’il ne se cache pas derrière une flopée d’invités plus ou moins prestigieux. Son album original, diversifié, d’un haut niveau qui confirme qu’il est un des grands musiciens de la scène américaine.
Aaah ouf, te voilà enfin, Michel! Je commençais à m'inquiéter ...
Saluuut
Je savais que tu réagirais au quart de tour devant une telle attaque frontale (rire).
Alors si fait, il y a de belles choses (j'aime bien 'No pain', 'Love song' par ex), de jolis chorus de gratte (le solo central de 'Wildflowers & wines' ou celui de 'Say you will'), et il chante très bien notre Marcus, mais enfin, tout ça n'en demeure pas moins un brin trop formaté pour mon goût.
Saluuut
Je savais que tu réagirais au quart de tour devant une telle attaque frontale (rire).
Alors si fait, il y a de belles choses (j'aime bien 'No pain', 'Love song' par ex), de jolis chorus de gratte (le solo central de 'Wildflowers & wines' ou celui de 'Say you will'), et il chante très bien notre Marcus, mais enfin, tout ça n'en demeure pas moins un brin trop formaté pour mon goût.
Disons que je ne poste plus dans le coin vu le peu d'activité du forum.
MAIS ICI
http://mick.over-blog.com/
toujours des chroniques des concerts (enfin pas depuis le confinement)
MAIS ICI
http://mick.over-blog.com/
toujours des chroniques des concerts (enfin pas depuis le confinement)
Je rejoins en partie Flo sur ce disque pour moi il est assez loin de la claque que j'avais pris avec le premier album de lui et son Band. En même temps je ne lui jette pas la pierre il découvre et élargit sa palette mais je ne trouve pas ce disque très abouti pour moi les titres sont davantage mid-tempo, la guitare en retrait et l'album reste dans ma liste à programmer mais est bien loin derrière de nombreuses autres sorties
Par contre en live avec son groupe, les titres de son album solo passent très bien
Sujets similaires
» Marcus King
» The Marcus King Band
» MARCUS KING BAND DUE NORTH EP
» MARCUS KING BAND LA CIGALE 10/10 -ANNECY 12/10
» Marcus King – Young blood (2022)
» The Marcus King Band
» MARCUS KING BAND DUE NORTH EP
» MARCUS KING BAND LA CIGALE 10/10 -ANNECY 12/10
» Marcus King – Young blood (2022)
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
|
|
Dim 28 Avr 2024 - 10:43 par tiludog
» ce que vous écoutez en ce moment!
Sam 9 Mar 2024 - 16:48 par Hoochie
» blues,what else?
Mer 20 Déc 2023 - 14:46 par Gallaguerre
» Unlimited Blues Time
Mar 5 Déc 2023 - 14:35 par Jipes
» Jimi Hendrix
Mer 15 Nov 2023 - 4:36 par fred-51
» blues au slide et wha wha
Lun 13 Nov 2023 - 20:06 par Mirage3
» SOME DROPS OF WATER
Jeu 2 Nov 2023 - 8:49 par Pierre-Emmanuel GILLET
» Clarence 'Guitar' Sims, aka Fillmore Slim
Jeu 21 Sep 2023 - 11:01 par rapido1
» Festival Mécleuves Terre de Blues 01 et 02 09/2023
Dim 20 Aoû 2023 - 23:14 par Jipes