Et POPA CHUBBY alors ??

c'est le même, bande de tricheurs

t'inquiete pas j'me suis fait avoir moi aussi!
J'aime bien "deliveries after dark", en concert ça avait envoyé méchant!!

ready freddie a écrit:pas fayotte la nana, et mon avatar, ça donne quoi

Ben je n'ai pas encore reçu le chèque

@+

ready freddie a écrit:c'est le même, bande de tricheurs

Ben on a eu la même idée avec Rainbow Jazz Raf, sauf que je n'ai pas posté un lien usine à gaz moi

@+

sergio88 a écrit:

ready freddie a écrit:c'est le même, bande de tricheurs

Ben on a eu la même idée avec Rainbow Jazz Raf, sauf que je n'ai pas posté un lien usine à gaz moi

@+

Euh c'est pas faux!
mais je comprends pas pourquoi il n'y a pas la même adresse quand on passe par la fonction recherche... enfin bon.

walkingjack a écrit:
Le premier concert auquel j'ai assisté (il y a une dizaine d'année au chesterfield café) m'avait laissé sur une assez bonne impression, le suivant fut ...le dernier, quel ennui, son coté "je pioche un peu partout et j'essaye de vous épater" m'a vraiment gonflé. quant à son style et son jeu de guitare, ouais bof !!
oublie vite ce que j'ai dis avant d'aller le revoir, pas d'à priori, le plaisir de la musique d'abord.

Tiens c'est marrant en (re?)lisant ce sujet je tombe là-dessus, et ça aurait très bien pu avoir été écrit par ma pomme, car j'avais vu Popa au Chesterfiled itou à cette époque épique, peut être le même soir qui sait ?, et la suite, tout pareil !!!

Cela dit, de temps en temps à petite dose, c'est pas désagréable non plus un petit Popa. Il ne donne en général pas dans la finesse, certes...
Par contre j'ai réécouté ce w/e ce disque de Magic Slim produit par Popa sur lequel ce dernier fait quelques soli plutôt discrets et efficaces. Il y tâte aussi la basse.

pour les parisiens amateurs de Popa Chubby il sera en concert à l'Olympia le : 26/11/2007 à 20:30

Pour ceux qui apprécient Popa Chubby (comme moi ), et aussi pour les autres qui pourront ainsi le connaître mieux, voici une petite bio du bonhomme.


Le 31 mars 1960 la ville de New York, et plus précisément le quartier du Bronx, voit la naissance de Théodore Joseph Horowitz. Son enfance se passe paisiblement dans le magasin de confiseries de son père où il découvre la musique en écoutant des vinyles de rythm’n’blues tels Otis Redding, Wilson Picket ou Aretha Franklin… sans oublier les bluesmen comme Willy Dixon, Muddy Waters ou encore les B.B. King, Albert King et Freddie King...
Aussi, à l’adolescence, l’envie de jouer d’un instrument de musique lui semble t-elle toute naturelle. Il débute donc la batterie à l’âge de 13 ans. Mais c’est la découverte du rock’n’roll au travers des Rolling Stones, Jimmy Page, Eric Clapton, Jimi Hendrix... qui va lui donner l’envie de se mettre à la guitare qui restera depuis son instrument de prédilection.

Bien évidemment tout cela va déboucher sur une carrière de musicien. Après avoir essayé divers styles (punk, hard et rock), sa passion du blues est la plus forte et il fonde son groupe le “New York City Blues”, se produisant pratiquement chaque soir dans Big Apple il créée un cercle solide d’initiés. L’aide providentielle d’un certain Pierce Turner va lui permettre d’enregistrer une maquette “The Sky and the Ground”. Cette période va le voir trouver son nom de scène tiré d’une expression d'argot, "pop a chubby", qui veut dire avoir une érection et monter un nouveau groupe le “Popa Chubby Band”.

En 1991 Popa lance son propre label "Laughing Bear, s’ensuit la production de deux albums “It's Chubby Time” et “Gas Money”, édités seulement à quelques exemplaires ils ressortiront quelques années plus tard, une fois succès acquis.

En 1992 sa participation au "Long Beach Blues Festival" en Californie lui vaut de remporter le titre de "Nouvel Artiste de l’Année" lors d’un concours organisé en parallèle, sponsorisé par KLON, une radio locale. Sur sa lancée Popa multiplie les concerts, enchaînant plus de 200 clubs par an.

Son premier disque à l’échelle nationale paraît en 1995, il s’agit de l’excellent "Booty and the Beast", cette fois ci sous le label Sony. A noter que cet album est produit par Tom Dowd, connu pour ses collaborations avec Ray Charles, Wilson Picket, ou encore Aretha Franklin. Surfant alors sur la vague du succès Popa enchaîne alors les galettes : 1996, premier live, "Hit The High Hard One", puis "One Million Broken Guitars" (1998) sur le label "Lightyear Records", "Brooklyn Basement Blues" (1999).

En 2000, Chubby signe chez "Blind Pig" et réalise "How'd A White Boy Get The Blues ?" Au passage, Popa parvient à explorer différents genres qui lui sont chers. Avec talent il mixe et dose blues, rock, funk, jazz, soul et gangsta rap jusqu’à obtenir et créer le genre musical dont il va devenir le leader incontesté : le “New York City Blues”. D’après sa propre définition "une musique crue, urbaine et qui t’en met plein la gueule. Un truc vrai, réel, honnête, sans perte de temps, ni faux-semblant".

Popa tourne dès lors à la cadence de près d’un album par an. Parmi ses productions notables citons “Flashed Back” en 2001, album de reprise ou il débale toutes ses influences musicales : de Hendrix à Otis Redding et des Animals à Nancy Sinatra. “Live at FIP” en 2003 où s’étale tout son talent en public. “Peace, Love and Respect” en 2004, un concept album axé autour d’une vision du monde à trois facettes : l’amour, la connaissance de soi-même et l’ambiguïté du gouvernement américain face à un monde de tension et de violence. Ou encore “Electric Chubbyland” en 2006, magnifique hommage à Jimi Hendrix.

Comme certains de ses confrères Popa Chubby jouit d’un vif succès en France (avec en particulier un Zénith sold out en mai 2002), alors qu’il n’est connu que d’un public de spécialistes aux Etats-Unis. Il bat en brèche les a priori sur le blues et ses images. Il vient de New York, il est blanc, a plutôt un look de rappeur ou de membre de gang, et donne un sacré coup de balai dans le blues. Tout ceci, ajouté à un syle agressif sur scène, à ses mélanges et à un caractère entier lui vaut une certaine inimitié de la part d’une catégorie de puristes. A ses moments perdus Popa continue à se produire dans un club de Brooklin, le Waterfront Ale House, avec son groupe “Black Coffee Blues Band”.


Discographie sélective

1995 : Booty and the Beast
1997 : One Million Broken Guitars
1998 : Brooklyn Basement Blues
1999 : One Night Live
2000 : How'd a White Boy Get the Blues?
2001 : Flashed Back (avec sa compagne Galea)
2002 : The Good, the Bad and the Chubby
2003 : Popa Chubby Live at FIP
2004 : Peace, Love and Respect
2006 : Stealing the Devil's Guitar
2006 : Electric Chubbyland (album-hommage à Jimi Hendrix) (2 CD live + 1 studio)
2007 : Deliveries After Dark

Etonnement Booty and the Beast me parait etre un de ses meilleurs albums mais lui il ne l'aime pas du tout, curieux comme les avis varient

Y a de nouvelles vidöos sur DM
https://www.dailymotion.com/relevance/search/popa+chubby/video/x3pxjl_popa-chubby-electric-chubbyland-par_music

Jipes a écrit:Etonnement Booty and the Beast me parait etre un de ses meilleurs albums mais lui il ne l'aime pas du tout, curieux comme les avis varient

Oui c'est ce qui se raconte...
Et saluons qd même son travail admirable sur Electric Chubbyland!

j'ai réécouté aujourd'hui Brooklyn basement blues, c'est l'album que je préfère, plus sobre que d'autres, avec des chansons, des vraies qui valent plus que la simple performance guitaristique (she said that evil was her name, Arlita, Shakedown...) et 2 covers magistrales de Hendrix (the wind cries Mary) et d-Otis (I've been loving you too long).

je le recommande à qui veut découvrir Popa.

pg a écrit:Par contre j'ai réécouté ce w/e ce disque de Magic Slim produit par Popa sur lequel ce dernier fait quelques soli plutôt discrets et efficaces. Il y tâte aussi la basse.

par contre il y a un morceau avec des samples... en tant que fan de Magic Slim, je n'adhère pas.

agathe-ze-blues a écrit:j'ai réécouté aujourd'hui Brooklyn basement blues, c'est l'album que je préfère, plus sobre que d'autres, avec des chansons, des vraies qui valent plus que la simple performance guitaristique (she said that evil was her name, Arlita, Shakedown...) et 2 covers magistrales de Hendrix (the wind cries Mary) et d-Otis (I've been loving you too long).

je le recommande à qui veut découvrir Popa.

Je ne le connais pas celui là il faudrai que j'y jette une oreille faut dire que j'ai décroché assez vite (après one million Broken guitars) même si je reconnais bien volontiers ses qualitées artistiques je ne me retrouve pas vraiment dans sa musique il a une petite tendance a en faire trop à mon goût mais ca reste très personnel !

Jipes a écrit:

agathe-ze-blues a écrit:j'ai réécouté aujourd'hui Brooklyn basement blues, c'est l'album que je préfère, plus sobre que d'autres, avec des chansons, des vraies qui valent plus que la simple performance guitaristique (she said that evil was her name, Arlita, Shakedown...) et 2 covers magistrales de Hendrix (the wind cries Mary) et d-Otis (I've been loving you too long).

je le recommande à qui veut découvrir Popa.

Je ne le connais pas celui là il faudrai que j'y jette une oreille faut dire que j'ai décroché assez vite (après one million Broken guitars) même si je reconnais bien volontiers ses qualitées artistiques je ne me retrouve pas vraiment dans sa musique il a une petite tendance a en faire trop à mon goût mais ca reste très personnel !

Justement dans celui-là il n'en fait pas trop, à mon sens.
(Comme dit un pote : "Popa, il aime trop jouer de la guitare!!")

Une interview lue sur http://www.peppermint-blues.fr/ :

Rencontre avec Popa Chubby au Rouge Gorge - 25-03-2008

"A l’occasion de ce que l’Histoire retiendra comme son dernier passage au Rouge-Gorge, Popa Chubby a accordé, entre balances et buffet, cinq minutes montre en main à Peppermint Blues.
Une interview exclusive, dans laquelle il donne sa vision du Blues et nous parle de son travail de producteur…
Dans votre dernier disque, certains titres sonnent très Led Zeppelin ou AC/DC. Aux balances, vous avez aussi repris deux titres des Who, cela veut-il dire que vous ne jouerez plus jamais de Blues ?

Mais C’EST du Blues, qu’est-ce que vous me racontez là ?
C’est quoi le Blues pour vous ?
Popa Chubby joue le Blues de Popa Chubby. Le Blues c’est la musique de l’instant. Cà n’est pas trois accords, ou quelque chose comme çà. C’est la musique du cœur, de l’âme, et de l’instant. Voilà ce qu’est le Blues ! Moi, je suis un rocker. Ce mot me va mieux. Mais j’aime aussi le Blues. Tout çà, c’est les mêmes influences. Cà ressort simplement d’une façon différente… Je ne suis pas un puriste du Blues, je ne l’ai jamais été. J’adore le Blues, mais je ne joue pas LE blues. Je joue du Blues Rock.

Vous jouez très fort sur scène, pourquoi ?

Après avoir fait mine de m’égorger à l’aide d’un couteau en plastique Popa répond…

Question stupide !
J’ai besoin de jouer aussi fort, c’est tout. Je vais vous dire un secret : plus c’est fort, mieux c’est.
C’est aussi simple que çà…

On connaît peu votre travail de producteur. Vous avez pourtant découvert des artistes comme Big Ed Sullivan ou Bill Perry…

Je n’ai pas découvert Bill PERRY. Bill était un ami et j’ai eu le plaisir de travailler avec lui sur deux disques. Le travail de producteur est difficile. Il faut pousser les gens à tirer le meilleur d’eux-mêmes et çà n’est pas une mince affaire lorsqu’il s’agit de véritables talents. Avec Big Ed Sullivan, ce n’est que du bonheur : c’est un grand songwriter, un guitariste très original, et donc avec lui, on ne peut produire que de bons disques ! Pour Bill Perry, qui était aussi quelqu’un de très talentueux, avec une belle voix, un talent naturel, c’était aussi beaucoup de plaisir. Avec Magic Slim, ce qui était intéressant, c’était de travailler avec un vieux bluesman. Et c’était intéressant aussi avec beaucoup d’autres personnes avec qui j’ai travaillé… Ce que je ne voudrais pas, c’est que ce soit « juste un boulot ». Là, je ne le ferais pas… Je veux produire quelque chose qui m’apporte du plaisir. Et c’est aussi ce qui rend un disque intéressant. Je ne veux pas faire le disque que tout le monde fait. Je veux trouver quelque chose de spécial. C’est ce que j’essaie de faire quand je suis le producteur.

Vous êtes venu jouer plusieurs fois, ici, au « Rouge-Gorge ». Or ce lieu va fermer. Qu’est-ce que cela vous inspire ?

De très bonnes vibrations ici. Cette salle va me manquer."

@+

pas cool la fin de l'article !!! j'apprend que le rouge gorge
va fermer !! la salle où j'ai vu entre autre Bill Perry et Popa Chubby

Je suis déçu de cette nouvelle

Oliver Blues a écrit:pas cool la fin de l'article !!! j'apprend que le rouge gorge
va fermer !! la salle où j'ai vu entre autre Bill Perry et Popa Chubby

Je suis déçu de cette nouvelle

Et oui, malheureusement une de plus qui jette l'éponge. Celà explique le changement de lieu pour certains concerts dont celui de Bernard Allison je crois me rappeler.

@+

exact, je devais allé le voir au rouge gorge et finalement j'irai le voir à l'usine d'Istres (13)

bon je sais qu'il y a des fans de Popa Chubby ici

alors réjouissez vous il sort un nouvel album intitulé Vicious Country fin novembre et passera en concert par la même occasion

cool j'attend de voir le style, mais moi j'aime bien
le "petit père" Popa

je savais pas que le rouge gorge avait fermé... la loose... j'y avais vu un super concert de Sam Myers.

PS : plus c'est fort mieux c'est, c'est quand on commence a etre sourd

Jungleland a écrit:bon je sais qu'il y a des fans de Popa Chubby ici

alors réjouissez vous il sort un nouvel album intitulé Vicious Country fin novembre et passera en concert par la même occasion

En voila une chouette nouvelle J'espère qu'il se produira pas trop loin de chez moi.

Quelques précisions sur la sortie du nouvel album ainsi que quelques dates.

Le guitariste au look de camionneur Popa Chubby est de retour sur scène et en album, avec un projet intitulé "Vicious Country". L'album, programmé pour le 20 novembre, donnera en effet lieu à une série de concerts à travers la France.

Les premières dates sont prévues au Bataclan, à Paris. Popa Chubby y donnera deux concerts, les 21 et 22 novembre, pour célébrer la sortie de son album hommage à la musique de Merle Haggard, Gene Vincent et Johnny Cash.

L'artiste se produira ensuite à Lillebonne le 25 novembre, Bordeaux le 26, Toulouse le 27 novembre, Bizanos (près de Pau) le 28 novembre et Camares le 29.

Avec cette mini-tournée, Popa Chubby donnera ainsi un premier aperçu de son interprétation de la musique sudiste des studios Sun, célèbres pour avoir produit, entre autres, Elvis.

"J'avoue avoir toujours apprécié la compagnie des hors-la-loi sudistes et mes premiers souvenirs de types qui jouaient de la guitare comme des culs-terreux remontent à mon enfance dans les quartiers sud du Bronx", explique Popa Chubby pour justifier ce choix musical.

"L'an dernier, lors d'un passage à Memphis où je jouais dans un festival au bord du Mississippi, je me suis retrouvé dans le célèbre studio Sun, à l'endroit exact où se tenait Elvis lorsqu'il a fait entrer le rock'n'roll dans l'histoire. La graine a germé depuis et on a entrepris la lourde tâche de mettre en boîte un album", ajoute l'illustre guitariste, qui estime que "jamais on n'a joué aussi bien et je suis impatient d'essayer ce répertoire sur scène".

Au Bataclan, le groupe "Vicious Country", qui joue sur l'album, sera bien sur scène pour accompagner Popa. "Ce qui ne m'empêchera pas de jouer aussi du Jimi Hendrix et quelques bons vieux classiques signés Popa Chubby", ajoute l'artiste.

Il est devenu vachement eclectique le Chubby depuis ses debuts du NYC blues ......pas ininteressant malgre tout