The Marcus King Band – 'Carolina Confessions' (2018)
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06092018
The Marcus King Band – 'Carolina Confessions' (2018)
The Marcus King Band – Carolina Confessions (2018)
Date de sortie : 5 Oct 2018
Label : Fantasy records
Genre : Blues-rock, southern rock, soul, folk, jazz, country
Liste des titres :
01- Confessions
02- Where I'm headed
03- Homesick'
04- 8 a.m.
05- How long
06- Remember
07- Side door
08- Autumn rains
09- Welcome 'round here
10- Goodbye Carolina
Personnel :
Marcus King/ guitares, chant ; Stephen Campbell/ basse ; Jack Ryan/ batterie ; Justin Johnson/ trompette, trombone ; Dean Mitchell/ saxophone; DeShawn 'D-vibes' Alexander/ claviers.
Deux extraits de ce nouvel album, le 3ème du MKB, à paraître le 5 octobre prochain :
'Welcome 'round here'
'Homesick'
Date de sortie : 5 Oct 2018
Label : Fantasy records
Genre : Blues-rock, southern rock, soul, folk, jazz, country
Liste des titres :
01- Confessions
02- Where I'm headed
03- Homesick'
04- 8 a.m.
05- How long
06- Remember
07- Side door
08- Autumn rains
09- Welcome 'round here
10- Goodbye Carolina
Personnel :
Marcus King/ guitares, chant ; Stephen Campbell/ basse ; Jack Ryan/ batterie ; Justin Johnson/ trompette, trombone ; Dean Mitchell/ saxophone; DeShawn 'D-vibes' Alexander/ claviers.
Deux extraits de ce nouvel album, le 3ème du MKB, à paraître le 5 octobre prochain :
'Welcome 'round here'
'Homesick'
Flovia- The voice of Bluesland
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The Marcus King Band – 'Carolina Confessions' (2018) :: Commentaires
10 octobre La Cigale (Paris)
11 octobre Café Charbon - Coulanges-Les-Nevers
12 octobre Arcadium - Annecy
13 octobre Avignon BluesFestival
YM
11 octobre Café Charbon - Coulanges-Les-Nevers
12 octobre Arcadium - Annecy
13 octobre Avignon BluesFestival
YM
Le chemin parcouru par Marcus King depuis la sortie de son album éponyme en 2016 est rapide. Toujours sur la route, il est en France pour plusieurs dates en octobre, puis enchaîne avec une tournée européenne et tout de suite après une vingtaine de dates aux USA.
On pourrait craindre que ce rythme effréné nuise à sa créativité, et pourtant il a trouvé le temps de se poser à Nashville dans le RCA Studio A avec le prestigieux Dave Cobb à la production pour enregistrer son troisième album Carolina Confessions (si on ne compte pas le superbe EP Due North sortie l’année dernière).
Plusieurs titres sont déjà interprétés en concert depuis plusieurs mois ainsi « Goodbye Carolina », « Welcome 'Round Here », »Autumn Rain », « Where I'm Headed » ont été joués au Blues Festival de Telluride en septembre.
Pas facile d’enchaîner après un album qui a révélé le groupe au grand public et qui contenait quelques signatures-songs. L’écueil est de torcher vite fait un nouvel album écrit à la va vite, entre deux dates, histoire de ne pas faire retomber la mayonnaise.
Ce qui n’est pas le cas ici, l’ami Marcus a été élevé à l’école de Warren Haynes en d’autres termes, rigueur et respect absolu du public.
Comme Warren, Marcus a travaillé sa voix, et c’est assez surprenant de l’entendre chanter de si belle manière eu égard à son jeune âge.
Pour la guitare, pas de soucis, la plupart des titres sont réalisés avec une Gibson 345 ’62 appartenant à son grand-père, et dès le morceau d’ouverture qui est une sorte d’hommage à son état de naissance, on est totalement rassuré sur la finalité de la démarche.
Bien épaulé par un groupe stable, il nous régale d’un festival de guitares, mais au service de chansons très construites, avec des mélodies qui imprègnent l’inconscient de l’auditeur bien porté par une voix pas spécialement belle mais joliment originale.
Cet album est dans la continuité de la démarche du groupe tout en apportant une nouvelle pierre, une maturité incontestable, au niveau des compositions qui sont travaillées et très abouties.
Incontestablement Marcus est l’héritier de Warren Haynes, des Allman dont il joue parfois des morceaux en concert.
Et une composition, « Remember » à la guitare acoustique, une quasi première qui démontre qu’il est aussi très habile dans ce registre.
A noter une superbe pochette avec de belles couleurs qui tranche singulièrement avec la sobriété presque mormone des précédents albums.
Allez voici ce qu’en dit Marcus : « La photo de couverture de l’album, un confessionnal dégueulasse, dont la porte vitrée est ouverte, assise surréaliste au milieu du kudzu, est imprégnée de mystère du gothique méridional, de rédemption et de damnation à cheval. C’est une métaphore visuelle saisissante de la lutte spirituelle décrite de manière si vivante dans les chansons de Carolina Confessions. «Ma mère était catholique et ma grand-mère maternelle était catholique», a déclaré King. "Je n’étais pas catholique, mais l’idée de confesser vos péchés a toujours été très puissante pour moi."
Bref un superbe album qui s’écoute encore et encore et encore.
Marcus King est en France en octobre une bonne occasion d’écouter les titres de ce nouveau CD en live !
On pourrait craindre que ce rythme effréné nuise à sa créativité, et pourtant il a trouvé le temps de se poser à Nashville dans le RCA Studio A avec le prestigieux Dave Cobb à la production pour enregistrer son troisième album Carolina Confessions (si on ne compte pas le superbe EP Due North sortie l’année dernière).
Plusieurs titres sont déjà interprétés en concert depuis plusieurs mois ainsi « Goodbye Carolina », « Welcome 'Round Here », »Autumn Rain », « Where I'm Headed » ont été joués au Blues Festival de Telluride en septembre.
Pas facile d’enchaîner après un album qui a révélé le groupe au grand public et qui contenait quelques signatures-songs. L’écueil est de torcher vite fait un nouvel album écrit à la va vite, entre deux dates, histoire de ne pas faire retomber la mayonnaise.
Ce qui n’est pas le cas ici, l’ami Marcus a été élevé à l’école de Warren Haynes en d’autres termes, rigueur et respect absolu du public.
Comme Warren, Marcus a travaillé sa voix, et c’est assez surprenant de l’entendre chanter de si belle manière eu égard à son jeune âge.
Pour la guitare, pas de soucis, la plupart des titres sont réalisés avec une Gibson 345 ’62 appartenant à son grand-père, et dès le morceau d’ouverture qui est une sorte d’hommage à son état de naissance, on est totalement rassuré sur la finalité de la démarche.
Bien épaulé par un groupe stable, il nous régale d’un festival de guitares, mais au service de chansons très construites, avec des mélodies qui imprègnent l’inconscient de l’auditeur bien porté par une voix pas spécialement belle mais joliment originale.
Cet album est dans la continuité de la démarche du groupe tout en apportant une nouvelle pierre, une maturité incontestable, au niveau des compositions qui sont travaillées et très abouties.
Incontestablement Marcus est l’héritier de Warren Haynes, des Allman dont il joue parfois des morceaux en concert.
Et une composition, « Remember » à la guitare acoustique, une quasi première qui démontre qu’il est aussi très habile dans ce registre.
A noter une superbe pochette avec de belles couleurs qui tranche singulièrement avec la sobriété presque mormone des précédents albums.
Allez voici ce qu’en dit Marcus : « La photo de couverture de l’album, un confessionnal dégueulasse, dont la porte vitrée est ouverte, assise surréaliste au milieu du kudzu, est imprégnée de mystère du gothique méridional, de rédemption et de damnation à cheval. C’est une métaphore visuelle saisissante de la lutte spirituelle décrite de manière si vivante dans les chansons de Carolina Confessions. «Ma mère était catholique et ma grand-mère maternelle était catholique», a déclaré King. "Je n’étais pas catholique, mais l’idée de confesser vos péchés a toujours été très puissante pour moi."
Bref un superbe album qui s’écoute encore et encore et encore.
Marcus King est en France en octobre une bonne occasion d’écouter les titres de ce nouveau CD en live !
Cet album est effectivement très agréable à écouter. D'abord - et c'est quand même le principal- parce que les compositions sont de qualité, il y a pléthore de bonnes chansons, les titres s'enchainent sans donner à l'auditeur une impression de "remplissage".
Les arrangements et les orchestrations sont au service des titres, rien n'est inutilement bavard. J'aime beaucoup l'intervention des cuivres, toujours au bon moment. Une pédal-steel discrète et indispensable à l'ambiance, un clavier efficace, ....Marcus King fait de sa voix singulière un atout, avec des accents "soul" sans jamais tomber dans la caricature.Quand à son jeu de guitare, il est sans emphase, et là aussi sans démonstration inutile.
Son premier album comportait de sacrés pépites, celui-ci est plus homogène.
Je suis impatient et curieux de découvrir cet artiste et son groupe en concert à Annecy !
Les arrangements et les orchestrations sont au service des titres, rien n'est inutilement bavard. J'aime beaucoup l'intervention des cuivres, toujours au bon moment. Une pédal-steel discrète et indispensable à l'ambiance, un clavier efficace, ....Marcus King fait de sa voix singulière un atout, avec des accents "soul" sans jamais tomber dans la caricature.Quand à son jeu de guitare, il est sans emphase, et là aussi sans démonstration inutile.
Son premier album comportait de sacrés pépites, celui-ci est plus homogène.
Je suis impatient et curieux de découvrir cet artiste et son groupe en concert à Annecy !
Franchement un peu déçu de ce nouvel album je pensais le classer tout en haut du Power Blues d'Octobre avant de l'avoir entendu tellement je suis conquis par le talent de cet artiste malheureusement il n'en est rien je reste sur ma faim.
Ne vous méprenez pas les morceaux sont intéressants et le groupe joue bien mais je trouve que l'ensemble manque de flamme, qualité que possédait le précédent.
Je trouve aussi que Marcus chante très bien mais je trouve la gratte en retrait et les compositions ne sont pas à la hauteur de "Rita is gone" qui me donne des frissons chaque fois que je l'écoute. J'attends donc le prochain album ou un Live pour m'enthousiasmer de nouveau
Ne vous méprenez pas les morceaux sont intéressants et le groupe joue bien mais je trouve que l'ensemble manque de flamme, qualité que possédait le précédent.
Je trouve aussi que Marcus chante très bien mais je trouve la gratte en retrait et les compositions ne sont pas à la hauteur de "Rita is gone" qui me donne des frissons chaque fois que je l'écoute. J'attends donc le prochain album ou un Live pour m'enthousiasmer de nouveau
Après plusieurs écoutes, et tout en prenant soin de faire abstraction de la brillante prestation live du Marcus King band à l'Arcadium d'Annecy, ce dernier 12 octobre, mon sentiment rejoint en grande partie celui de Jipes.
Le jeu de guitare concis - qualité qu'en général j'apprécie chez un guitariste – évoqué par Tommy, ne se conjugue, à mon avis, pas si bien avec une orientation musicale jazz-rock fusion, direction vers laquelle Marcus King s'aventure, il est vrai, bien davantage en concert.
Et pour ma part, c'est dans cette mouvance particulière que je le préfère.
Aussi serait-il, à mon sens, regrettable qu'à force de formatage aux normes fm main stream un guitariste de sa trempe perde cette flamme qui faisait, au départ, toute son originalité.
Et de ce point de vue, 'Carolina confessions' m'a paru un rien en dessous de ses deux précédentes productions.
L'excellent 'Confessions' d'ouverture augurait pourtant du meilleur à venir.
Il m'a toutefois fallu attendre 'Remember', majoritairement joué en acoustique, un titre aussi rafraîchissant, mélodiquement parlant, que vocalement poignant, pour de nouveau vraiment dresser l'oreille. Même soutien d'attention à l'écoute de son phrasé guitariste sur le 'Side door' suivant, l'un des trois autres relatifs sommets de cette galette, aux côtés du puissant 'Welcome 'round here' et de 'Goodbye Carolina', chanté avec beaucoup d'émotions.
D'autres brefs mais bons moments se retrouvent disséminés au fil des plages, comme dans 'Where I'm headed' où Marcus se met à la pedal steel, instrument dont il joue fort honorablement. A noter aussi son solo central sur 'Homesick', son chorus sur '8 A.M.' , son superbe outro sur 'Automn rains', ou encore le pont lorgnant vers la fusion de 'Welcome 'round here'.
Cette constatation établie, l'assise musicale de la face B (soit à partir du titre 'Remember') m'a semblé de bien meilleure qualité que la face A, tout même assez conventionnelle.
Et malgré une production ultra léchée, le jeune prodige s'y montre globalement moins créatif qu'auparavant. En comparaison, 'Soul inside', premier opus que j'apprécie au moins autant, sinon plus, que le second, en dépit des quelques tâtonnements et autre petites imperfections inhérentes à un premier jet, m'avait davantage séduite. Même considération pour son 'Due North' EP (en particulier, le medley live 'Sharry barry/Sliced milk/ 25 or 6 to 4/ I'll stay/Gloomy Sunday').
J'aime sa faculté d'évasion vers le jazz-fusion, sa facilité à jammer. Et si Marcus a effectivement peaufiné son chant (aucune hésitation, aucun manque de souffle ne subsistant désormais), quelques belles envolées guitaristiques supplémentaires ne m'eussent pas déplu.
Aussi ne faudrait-il pas que cette course effrénée à la notoriété, dont Bayou nous parle à juste titre, finisse par altérer la progression toute particulière de ce musicien.
Ici, ses compositions se révèlent également moins percutantes que celles de son précédent album, l'éponyme 'The Marcus King band'. Difficile, toutefois, de lui en tenir rigueur, compte tenu de la proximité de leurs sorties sur le marché.
Retrouver sa pleine inspiration nécessiterait une pause nettement supérieure à celle qui lui a été octroyée pour cet enregistrement (d'où un résultat d'ensemble plus qu'honnête, mais dépourvu de véritable pépite). Et l'on finit par se demander si, au regard de l'impressionnante liste de ses concerts à venir, Marcus King en aura même seulement le loisir, un jour prochain.
Pour l'heure, il doit conjuguer de front, tournées et renouvellement de répertoire, implacable diktat du business musical outre-atlantique, paraît-il. Marcus est jeune, certes, et apparemment vigoureux, me direz-vous! Souhaitons juste qu'il ne laisse pas trop de plumes dans semblable marathon.
Le jeu de guitare concis - qualité qu'en général j'apprécie chez un guitariste – évoqué par Tommy, ne se conjugue, à mon avis, pas si bien avec une orientation musicale jazz-rock fusion, direction vers laquelle Marcus King s'aventure, il est vrai, bien davantage en concert.
Et pour ma part, c'est dans cette mouvance particulière que je le préfère.
Aussi serait-il, à mon sens, regrettable qu'à force de formatage aux normes fm main stream un guitariste de sa trempe perde cette flamme qui faisait, au départ, toute son originalité.
Et de ce point de vue, 'Carolina confessions' m'a paru un rien en dessous de ses deux précédentes productions.
L'excellent 'Confessions' d'ouverture augurait pourtant du meilleur à venir.
Il m'a toutefois fallu attendre 'Remember', majoritairement joué en acoustique, un titre aussi rafraîchissant, mélodiquement parlant, que vocalement poignant, pour de nouveau vraiment dresser l'oreille. Même soutien d'attention à l'écoute de son phrasé guitariste sur le 'Side door' suivant, l'un des trois autres relatifs sommets de cette galette, aux côtés du puissant 'Welcome 'round here' et de 'Goodbye Carolina', chanté avec beaucoup d'émotions.
D'autres brefs mais bons moments se retrouvent disséminés au fil des plages, comme dans 'Where I'm headed' où Marcus se met à la pedal steel, instrument dont il joue fort honorablement. A noter aussi son solo central sur 'Homesick', son chorus sur '8 A.M.' , son superbe outro sur 'Automn rains', ou encore le pont lorgnant vers la fusion de 'Welcome 'round here'.
Cette constatation établie, l'assise musicale de la face B (soit à partir du titre 'Remember') m'a semblé de bien meilleure qualité que la face A, tout même assez conventionnelle.
Et malgré une production ultra léchée, le jeune prodige s'y montre globalement moins créatif qu'auparavant. En comparaison, 'Soul inside', premier opus que j'apprécie au moins autant, sinon plus, que le second, en dépit des quelques tâtonnements et autre petites imperfections inhérentes à un premier jet, m'avait davantage séduite. Même considération pour son 'Due North' EP (en particulier, le medley live 'Sharry barry/Sliced milk/ 25 or 6 to 4/ I'll stay/Gloomy Sunday').
J'aime sa faculté d'évasion vers le jazz-fusion, sa facilité à jammer. Et si Marcus a effectivement peaufiné son chant (aucune hésitation, aucun manque de souffle ne subsistant désormais), quelques belles envolées guitaristiques supplémentaires ne m'eussent pas déplu.
Aussi ne faudrait-il pas que cette course effrénée à la notoriété, dont Bayou nous parle à juste titre, finisse par altérer la progression toute particulière de ce musicien.
Ici, ses compositions se révèlent également moins percutantes que celles de son précédent album, l'éponyme 'The Marcus King band'. Difficile, toutefois, de lui en tenir rigueur, compte tenu de la proximité de leurs sorties sur le marché.
Retrouver sa pleine inspiration nécessiterait une pause nettement supérieure à celle qui lui a été octroyée pour cet enregistrement (d'où un résultat d'ensemble plus qu'honnête, mais dépourvu de véritable pépite). Et l'on finit par se demander si, au regard de l'impressionnante liste de ses concerts à venir, Marcus King en aura même seulement le loisir, un jour prochain.
Pour l'heure, il doit conjuguer de front, tournées et renouvellement de répertoire, implacable diktat du business musical outre-atlantique, paraît-il. Marcus est jeune, certes, et apparemment vigoureux, me direz-vous! Souhaitons juste qu'il ne laisse pas trop de plumes dans semblable marathon.
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