JOE BONAMASSA
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Re: JOE BONAMASSA
Je ne sais pas si Bonamassa est une "mitraillette" mais il se fait tirer comme un lapin à chaque coin de topic...
Moa ch't'M Joe.
Moa ch't'M Joe.
Terrains vagues- At The Crossroad
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Re: JOE BONAMASSA
Ben, Bonamassa c'est ce vendredi à Lyon ... et je suis très content de pouvoir le ré-entendre
Re: JOE BONAMASSA
JOE BONAMASSA : Paris, Grand Rex, 4/3/14
Vilipendé, honni par les uns, traître parmi les traîtres parce qu'il a lâchement abandonné Black Country Communion en pleine ascension et accusé d'être un artiste ayant le charisme d'une huitre (serait-ce sa seule image de Mark ?) et adulé des autres (pour ma part, je me situe dans une catégorie intermédiaire), Bona faisait une halte parisienne en un lieu prestigieux à savoir le Grand Rex qui s'était paré d'un superbe habit de lumière pour le recevoir.
Je n'avais pas prévu de m'y rendre initialement mais Mme Phil m'offrit une place pour la St Valentin (chose que je ne pouvais donc refuser sinon, c'était l'incident diplomatique assuré et puis je lui avais fait part de mon souhait d'y aller lors d'une discussion antérieure) car semble t-il, elle avait bien accroché au contenu de son dernier album Driving Towards The Daylight ainsi que Don't Explain avec Beth Hart et le live Beacon Theatre, albums que j'avais beaucoup aimés également. Et puis, un cadeau de St Valentin, par définition, ça ne se refuse pas. Le merchandising est fort bien achalandé puisque l'on y trouve tous les albums et DVD's du monsieur ainsi que toute la production de Black Country Communion sur laquelle il aurait pu faire l'impasse.
Le Grand Rex, pour le prestige, il n'y a rien à dire avec son arc à la Radio City Music Hall qui surplombe la scène et les sculptures qui ornent le théâtre de part en part. En revanche, en termes de configuration, il y a à redire. Des sièges rigides qui ne sont pas en décalé ce qui fait que lorsque vous avez un spectateur devant vous particulièrement grand, vous ne voyez pratiquement rien.
Obligés donc sur les trois premiers quarts d'heure de nous "faufiler" parmi les têtes pendant le set acoustique, nous essayons d'apercevoir et de "voler" un cliché du jeune guitariste (Mme Phil : "Tu ne trouves pas qu'il ressemble à Gilbert Montagné ?") Set acoustique durant lequel nous retiendrons entre autres les excellentes versions de Woke Up Dreaming, Seagull de Bad Company et Stones In My Passway de Robert Johnson. Un set emmené par le sémillant Lenny Castro dont le CV long comme le bras pourrait en remettre plus d'un à leur place, Gerry O'Connor des Dubliners, au violon et au banjo ainsi que le mystérieux Derek Sherinian (qui n'a plus l'apparence proprette qu'il avait dans BCC), l'alter ego du sieur Bonamassa dans Black Country Communion. Un mot à ce sujet et là-dessus, je m'exprimerai pour la dernière fois. Ras l'bol de lire un peu partout que BCC s'est séparé A CAUSE de Bona surnommé "BONAMASSACRE" ou même considéré comme étant le "Clapton du pauvre"par ses détracteurs. Chépa, après tout, je m'en branle mais l'essentiel est de passer un moment de pur plaisir à l'écoute de cette musique bluesy si savamment dosée et ce, sous l'oeil d'un public attentif et respectueux. Ce qui fut le cas et ce, malgré mon appréhension de départ.
Comparativement, je m'étais davantage fait chier au concert de Gary Moore en 93 au Zénith sur la tournée After Hours. Putain, la plaie, ce concert !!!!!!!!!!!! Et pourtant, Gary, je suis fan mais ce soir-là, il s'est égaré..........Donc pour revenir à BCC à un moment donné , ne s'est-on jamais posés la question de savoir comment se déroulait véritablement la cohabitation avec le très expansif voire même envahissant Glenn Hughes concernant le processus de composition ? Je pense que ce dernier devait être véritablement chiant comme la mort. On connaît le bonhomme et son côté "Il faut que je la ramène en permanence". Mais au final, je l'aime bien quand même. Parenthèse refermée. Et Dieu sait pourtant si j'ai regretté la séparation de Black Country Communion qui, pour moi est ce que Glenn Hughes avait fait de mieux depuis qu'il avait quitté Deep Purple le 15 mars 1976 à Liverpool.
Après une "entracte" de 15 minutes passée en ce qui me concerne au lieu d'aisance ô combien confiné, Bona revient pour entamer un set cette fois-ci électrique. Coup d'bol, certaines personnes de devant se barrent pour aller plus bas. Je le répète mais le Grand Rex est une salle à éviter de toute urgence pour ce qui concerne les concerts. Enfin, Mme Phil est soulagée de pouvoir VOIR le concert, moi aussi d'ailleurs et à partir de là, nous allons apprécier pleinement le show.
Tal Bergma, le batteur et Carmine Rojas, le bassiste font leur entrée et Dust Bowl ouvre les hostillités avec une conviction affichée. La version est décapante et ce, grâce à un son clair et puissant. Les morceaux s'enchainent ne laissant aucun temps mort et ce, sous l'oeil de fait plus attentif de Mme Phil qui constate en dépit des conditions de concert, que tous les titres qu'elle aime, sont là en l'occurrence Driving Towards The Daylight, Midnight Blues de Gary Moore particulièrement émouvant, Slow Train, Sloe Gin (superbe !!!!!) et The Ballad Of John Henry moins axé sur le thérémine que du temps de BCC (version Live Over Europe).
Bona communique de temps à autre avec le public mais cela reste très laconique. Les soli se veulent être, ceci dit, un peu répétitifs voire même très conventionnels mais jamais ennuyeux. Le groupe a un son véritablement énorme, les musiciens se donnent la bourre et d'ailleurs l'un des grands moments concernera ce dialogue de percussions entre Lenny Castro et Tal Bergman. D'habitude, c'est le genre de truc qui me fait chier mais là, c'était véritablement très sympathique de voir ces deux musiciens confirmés s'amuser ainsi.
Le final se veut être attrayant puisque Gerry O'Connor rejoint ses comparses sur scène pour un Mountain Time d'excellente facture qui s'étire sur une bonne dizaine de minutes.
Un excellent concert qui me fait dire que tous les quolibets lui étant adressés, n'ont pas lieu d'être justifiés. Merci de m'avoir lu.
Vilipendé, honni par les uns, traître parmi les traîtres parce qu'il a lâchement abandonné Black Country Communion en pleine ascension et accusé d'être un artiste ayant le charisme d'une huitre (serait-ce sa seule image de Mark ?) et adulé des autres (pour ma part, je me situe dans une catégorie intermédiaire), Bona faisait une halte parisienne en un lieu prestigieux à savoir le Grand Rex qui s'était paré d'un superbe habit de lumière pour le recevoir.
Je n'avais pas prévu de m'y rendre initialement mais Mme Phil m'offrit une place pour la St Valentin (chose que je ne pouvais donc refuser sinon, c'était l'incident diplomatique assuré et puis je lui avais fait part de mon souhait d'y aller lors d'une discussion antérieure) car semble t-il, elle avait bien accroché au contenu de son dernier album Driving Towards The Daylight ainsi que Don't Explain avec Beth Hart et le live Beacon Theatre, albums que j'avais beaucoup aimés également. Et puis, un cadeau de St Valentin, par définition, ça ne se refuse pas. Le merchandising est fort bien achalandé puisque l'on y trouve tous les albums et DVD's du monsieur ainsi que toute la production de Black Country Communion sur laquelle il aurait pu faire l'impasse.
Le Grand Rex, pour le prestige, il n'y a rien à dire avec son arc à la Radio City Music Hall qui surplombe la scène et les sculptures qui ornent le théâtre de part en part. En revanche, en termes de configuration, il y a à redire. Des sièges rigides qui ne sont pas en décalé ce qui fait que lorsque vous avez un spectateur devant vous particulièrement grand, vous ne voyez pratiquement rien.
Obligés donc sur les trois premiers quarts d'heure de nous "faufiler" parmi les têtes pendant le set acoustique, nous essayons d'apercevoir et de "voler" un cliché du jeune guitariste (Mme Phil : "Tu ne trouves pas qu'il ressemble à Gilbert Montagné ?") Set acoustique durant lequel nous retiendrons entre autres les excellentes versions de Woke Up Dreaming, Seagull de Bad Company et Stones In My Passway de Robert Johnson. Un set emmené par le sémillant Lenny Castro dont le CV long comme le bras pourrait en remettre plus d'un à leur place, Gerry O'Connor des Dubliners, au violon et au banjo ainsi que le mystérieux Derek Sherinian (qui n'a plus l'apparence proprette qu'il avait dans BCC), l'alter ego du sieur Bonamassa dans Black Country Communion. Un mot à ce sujet et là-dessus, je m'exprimerai pour la dernière fois. Ras l'bol de lire un peu partout que BCC s'est séparé A CAUSE de Bona surnommé "BONAMASSACRE" ou même considéré comme étant le "Clapton du pauvre"par ses détracteurs. Chépa, après tout, je m'en branle mais l'essentiel est de passer un moment de pur plaisir à l'écoute de cette musique bluesy si savamment dosée et ce, sous l'oeil d'un public attentif et respectueux. Ce qui fut le cas et ce, malgré mon appréhension de départ.
Comparativement, je m'étais davantage fait chier au concert de Gary Moore en 93 au Zénith sur la tournée After Hours. Putain, la plaie, ce concert !!!!!!!!!!!! Et pourtant, Gary, je suis fan mais ce soir-là, il s'est égaré..........Donc pour revenir à BCC à un moment donné , ne s'est-on jamais posés la question de savoir comment se déroulait véritablement la cohabitation avec le très expansif voire même envahissant Glenn Hughes concernant le processus de composition ? Je pense que ce dernier devait être véritablement chiant comme la mort. On connaît le bonhomme et son côté "Il faut que je la ramène en permanence". Mais au final, je l'aime bien quand même. Parenthèse refermée. Et Dieu sait pourtant si j'ai regretté la séparation de Black Country Communion qui, pour moi est ce que Glenn Hughes avait fait de mieux depuis qu'il avait quitté Deep Purple le 15 mars 1976 à Liverpool.
Après une "entracte" de 15 minutes passée en ce qui me concerne au lieu d'aisance ô combien confiné, Bona revient pour entamer un set cette fois-ci électrique. Coup d'bol, certaines personnes de devant se barrent pour aller plus bas. Je le répète mais le Grand Rex est une salle à éviter de toute urgence pour ce qui concerne les concerts. Enfin, Mme Phil est soulagée de pouvoir VOIR le concert, moi aussi d'ailleurs et à partir de là, nous allons apprécier pleinement le show.
Tal Bergma, le batteur et Carmine Rojas, le bassiste font leur entrée et Dust Bowl ouvre les hostillités avec une conviction affichée. La version est décapante et ce, grâce à un son clair et puissant. Les morceaux s'enchainent ne laissant aucun temps mort et ce, sous l'oeil de fait plus attentif de Mme Phil qui constate en dépit des conditions de concert, que tous les titres qu'elle aime, sont là en l'occurrence Driving Towards The Daylight, Midnight Blues de Gary Moore particulièrement émouvant, Slow Train, Sloe Gin (superbe !!!!!) et The Ballad Of John Henry moins axé sur le thérémine que du temps de BCC (version Live Over Europe).
Bona communique de temps à autre avec le public mais cela reste très laconique. Les soli se veulent être, ceci dit, un peu répétitifs voire même très conventionnels mais jamais ennuyeux. Le groupe a un son véritablement énorme, les musiciens se donnent la bourre et d'ailleurs l'un des grands moments concernera ce dialogue de percussions entre Lenny Castro et Tal Bergman. D'habitude, c'est le genre de truc qui me fait chier mais là, c'était véritablement très sympathique de voir ces deux musiciens confirmés s'amuser ainsi.
Le final se veut être attrayant puisque Gerry O'Connor rejoint ses comparses sur scène pour un Mountain Time d'excellente facture qui s'étire sur une bonne dizaine de minutes.
Un excellent concert qui me fait dire que tous les quolibets lui étant adressés, n'ont pas lieu d'être justifiés. Merci de m'avoir lu.
Phil- Delta King
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Re: JOE BONAMASSA
Merci pour ce partage Phil.
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Le véritable mélomane est l'homme qui, entendant une femme chanter dans sa salle de bain, s'approche du trou de la serrure et y colle... l'oreille. Francis Blanche
sergio88- Admin
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Re: JOE BONAMASSA
Merci pour le C.R
Je ne connais pas bien Bonamassa, les avis semblent partagés, l'essentiel est que vous ayez passé une bonne soirée.
P.S : qu'est ce que c'est que cet étrange instrument avec des touches de piano + des cordes jouées avec un archet ?
Je ne connais pas bien Bonamassa, les avis semblent partagés, l'essentiel est que vous ayez passé une bonne soirée.
P.S : qu'est ce que c'est que cet étrange instrument avec des touches de piano + des cordes jouées avec un archet ?
jb28- Chicago Hero
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Re: JOE BONAMASSA
Le vendredi les mêmes étaient à Lyon dans la même config. bien sûr.
Un moment bien sympa !
Par contre le son était vraiment mauvais. Question ? Qui gère le son dans un tel spectacle, un gars qui tourne avec l'artiste ou un local de l'étape ? Question subsidiaire : comment peuvent-ils autant se planter ?
(en quoi était-ce mauvais ? La partie acoustique hors solo donnait une relative bouillie de son. C'était moins sensible sur la partie électrique mais bon ... La proportion de tel ou tel son était régulièrement aberrante comme les percussions nettement trop fortes par moment dès qu'il s'agissait d'un instrument métallique (je ne connais pas son nom ...).
Un moment bien sympa !
Par contre le son était vraiment mauvais. Question ? Qui gère le son dans un tel spectacle, un gars qui tourne avec l'artiste ou un local de l'étape ? Question subsidiaire : comment peuvent-ils autant se planter ?
(en quoi était-ce mauvais ? La partie acoustique hors solo donnait une relative bouillie de son. C'était moins sensible sur la partie électrique mais bon ... La proportion de tel ou tel son était régulièrement aberrante comme les percussions nettement trop fortes par moment dès qu'il s'agissait d'un instrument métallique (je ne connais pas son nom ...).
Re: JOE BONAMASSA
A la sortie du concert, je suis content d’avoir passé une bonne soirée guitare. Sur scène, on est en présence d’un artiste d’exception qui a de plus bien communiqué avec le public. Il y a eu de grands moments, mais dans ma tête, je me dis que je ne vais pas pour autant me précipiter pour aller compléter ma Cdthèque. Pour les amateurs, Joe Bonamassa est un auteur, compositeur, interprète prolixe, capable de sortir un album par an, y compris avec son très intéressant projet alternatif Rock Candy Funk Party.
Re: JOE BONAMASSA
Prise2notes a écrit:Joe Bonamassa est un auteur, compositeur, interprète prolixe, capable de sortir un album par an
Ben il a encore du boulot s'il veut égaler Popa Chubby.
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sergio88- Admin
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Re: JOE BONAMASSA
sergio88 a écrit:Prise2notes a écrit:Joe Bonamassa est un auteur, compositeur, interprète prolixe, capable de sortir un album par an
Ben il a encore du boulot s'il veut égaler Popa Chubby.
En effet Sergio, il transpire moins que Popa et il fait aussi moins de paings ....
Re: JOE BONAMASSA
Ca tire à vue ici.
Moa ch't'aime toujours Joe, merci aux heureux qui sont allés le voir d'avoir partagés leurs ressentis.
Prise2notes, mais si précipites toi au moins sur "You and Me" ou "A New Day Yesterday" et surtout le dvd du Rockpalast.
Moa ch't'aime toujours Joe, merci aux heureux qui sont allés le voir d'avoir partagés leurs ressentis.
Prise2notes, mais si précipites toi au moins sur "You and Me" ou "A New Day Yesterday" et surtout le dvd du Rockpalast.
Terrains vagues- At The Crossroad
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Date d'inscription : 04/11/2013
Re: JOE BONAMASSA
Dans sa disco récente le seul album qui me branche, c'est la réalisation avec Beth Hart, essentiellement pour le côté organe vocal et soul de la Miss. Comme le souligne terrains vagues, il faut aller taper dans les anciennes galettes de sa discographie pour y trouver le meilleur. Bon tout ça c'est juste mon avis. Mais malgré tout, le jour où j'en aurai l'opportunité j'irai le voir, mais pas dans une une grande salle au son merdique à un tarif prohibitif.
Il faudrait faire une étude approfondir, soit le ratio masse/sudation pour en être certain; quoi que si on ajoute les postillons... Pour les paings, sans doute, Monsieur gendre idéal bien propre sur lui doit veiller à éviter la boulangerie pour garder la ligne.
MERDRIN a écrit:En effet Sergio, il transpire moins que Popa et il fait aussi moins de paings ....
Il faudrait faire une étude approfondir, soit le ratio masse/sudation pour en être certain; quoi que si on ajoute les postillons... Pour les paings, sans doute, Monsieur gendre idéal bien propre sur lui doit veiller à éviter la boulangerie pour garder la ligne.
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sergio88- Admin
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Re: JOE BONAMASSA
J'aime pas trop Popa Chubby mais il me fait bien plus d'effet dans ce qu'il joue que le Sieur Bonamassa, La technique n'a jamais été un très bon critère pour ressentir les émotions de cette musique
_________________
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Re: JOE BONAMASSA
Perso j'aime Popa, mais c'est comme un gros camoin américain, on aime, mais ça fait quand même un peu too much. Pour Joe Bonamassa, on est plus dans la berline de luxe, c'est plus rechecrhé !Jipes a écrit:J'aime pas trop Popa Chubby mais il me fait bien plus d'effet dans ce qu'il joue que le Sieur Bonamassa, La technique n'a jamais été un très bon critère pour ressentir les émotions de cette musique
Re: JOE BONAMASSA
Terrains vagues a écrit:Ca tire à vue ici.
Moa ch't'aime toujours Joe, merci aux heureux qui sont allés le voir d'avoir partagés leurs ressentis.
Prise2notes, mais si précipites toi au moins sur "You and Me" ou "A New Day Yesterday" et surtout le dvd du Rockpalast.
par contre j'accroche total sur Rock Candy funk Party, son projet Funk
Re: JOE BONAMASSA
Ben oui, ce n'est pas honteux ni même incongru quand on aime le Blues... Et puis comme on dit, les goûts et les couleurs... encore que je ne suis pas vraiment certain que ce soit uniquement une question de goût, peut être aussi de culture. Attention, je ne dis pas que ceux qui aiment Joe Bonamassa manquent de culture Blues, mais peut être n'ont-ils pas toujours le même parcours musical (question de génération ?) que les plus vieux d'entre nous...Terrains vagues a écrit:Ca tire à vue ici.
Moa ch't'aime toujours Joe.
Personnellement, je me suis souvent demandé pourquoi un gars comme Bonamassa (mais il y en a beaucoup d'autres du même style qui me font la même impression) me laissait relativement froid, pourquoi je n'avais pas vraiment envie de me déplacer à un de ses concerts ni d'acheter ses CD et pourquoi quand je vois ses youtuberies, au bout d'un morceau et demi je zappe...
Parce qu'objectivement, lui et ses compères sont de sacrés guitaristes. Quel guitariste amateur (et même sans doute beaucoup de pros) n'a pas rêvé ne serait-ce qu'une fois d'être capable de jouer comme Joe Bonamassa ? Il faut le dire, tout est nickel : la technique, le son, la musicalité et même quelque part le feeling, car Joe sait très bien également jouer lentement et de façon sentie. Et par dessus tout un amour du Blues qui est évident. Comment se fait-il donc que je suis (ô combien) admiratif mais pas remué ?
C'est peut être ça... Tout est peut être trop parfait, un peu comme une trop belle fille sans aucun défaut physique et qui impressionne plus qu'elle n'attire. Rien qui dépasse négativement, une uniformité dans la qualité... J'ai envie de dire "bravo !", et tout de suite après "et alors ?..." Parce que même si je ne lui nie pas un certain feeeling, j'ai souvent le ressenti de quelque chose d'un peu artificiel, de convenu. Comment dire... J'ai l'impression que ces jeunes blancs bec si parfaits "adaptent" leur feeling à leur technique, alors que c'est l'inverse chez les bluesmen que j'aime. De même, j'ai également l'impression qu'ils "entrent" dans le Blues, alors que les bluesmen cherchent au contraire à l'expulser.
Bon, c'est compliqué à expliquer et je ne sais pas si je me fais bien comprendre...
Phil cotton color- Chicago Hero
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Re: JOE BONAMASSA
Je te rejoins tout à fait Phil c'est clairement la technique qui prend le pas sur la sensibilité et puis quelque part il manque la rusticité et le côté sauvage du vrai bluesman
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Re: JOE BONAMASSA
Phil cotton color a écrit:Ben oui, ce n'est pas honteux ni même incongru quand on aime le Blues... Et puis comme on dit, les goûts et les couleurs... encore que je ne suis pas vraiment certain que ce soit uniquement une question de goût, peut être aussi de culture. Attention, je ne dis pas que ceux qui aiment Joe Bonamassa manquent de culture Blues, mais peut être n'ont-ils pas toujours le même parcours musical (question de génération ?) que les plus vieux d'entre nous...Terrains vagues a écrit:Ca tire à vue ici.
Moa ch't'aime toujours Joe.
(...)
C'est peut être ça... Tout est peut être trop parfait, un peu comme une trop belle fille sans aucun défaut physique et qui impressionne plus qu'elle n'attire. Rien qui dépasse négativement, une uniformité dans la qualité... J'ai envie de dire "bravo !", et tout de suite après "et alors ?..." Parce que même si je ne lui nie pas un certain feeeling, j'ai souvent le ressenti de quelque chose d'un peu artificiel, de convenu. Comment dire... J'ai l'impression que ces jeunes blancs bec si parfaits "adaptent" leur feeling à leur technique, alors que c'est l'inverse chez les bluesmen que j'aime. De même, j'ai également l'impression qu'ils "entrent" dans le Blues, alors que les bluesmen cherchent au contraire à l'expulser.
Bon, c'est compliqué à expliquer et je ne sais pas si je me fais bien comprendre...
Très bonne image. Et la référence à la culture blues que l'on a ou pas est intéressante aussi.
Ma très modeste expérience :
Je suis allé voir Bonamassa il y a quelques mois. Je le découvrais tout juste. Je ne parcourais ce forum que depuis peu. J'ai beaucoup apprécié.
Il revient à Lyon. Je reprends des places. Entre temps j'ai lu, ici sur ce forum et peut-être sur ce sujet d'ailleurs ce qu'on disait de lui et notamment quelqu'un a employé l'image d'une mitraillette.
Je l'ai écouté avec cette image en tête et j'ai entendu cela et je me suis dit "oui, c'est vrai il ralentit vraiment rarement ..."
Alors ?
- j'ai tout de même passé un très bon concert parce que j'aime vraiment le spectacle vivant et suis très tolérant envers les artistes et mesure ma chance de pouvoir assister régulièrement à des spectacles et ne pas m'en lasser depuis que je suis à Lyon. Donc ce genre de choses, un son un peu moins bon etc ne ternissent pas mon plaisir
- vaste débat mais au fil de l'acquisition d'une certaine culture (musicale ou autre) on accède à certains plaisirs et ... on apprécie différemment ceux qu'on connaît de longue date. Qui ne s'est pas mis à apprécier un auteur quand quelques années avaient passé et qu'il pouvait le lire ou l'écouter autrement. Bon, vaste sujet ...
Et bientôt il y aura la Nuit du Blues à Vienne et une soirée guitare dans ce même lieu pour entendre d'autres styles
Re: JOE BONAMASSA
Fildesoienaturelle a écrit:
De même, j'ai également l'impression qu'ils "entrent" dans le Blues, alors que les bluesmen cherchent au contraire à l'expulser.
Alors là, très belle phrase Phil!
Gut bucket- Chicago Hero
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Re: JOE BONAMASSA
Son dernier show est composé d'une 1ere partie acoustique, et bien c'est celle là que j'ai le plus aimé, parce que le blues qu'il a joué est un blues de pionnier issu du folklore des migrants d'Europe (Irlandais etc...) et ce blues, on l'entend rarement.
Re: JOE BONAMASSA
Surpapierbuvard a écrit:
Son dernier show est composé d'une 1ere partie acoustique, et bien c'est celle là que j'ai le plus aimé, parce que le blues qu'il a joué est un blues de pionnier issu du folklore des migrants d'Europe (Irlandais etc...) et ce blues, on l'entend rarement
C'est peut-être pas flagrant mais les musiques celtiques (irlandaises et écossaises essentiellement) font partie des ingrédients de ce savant mélange dont résulte le blues rural primitif, et probablement d'avant les premiers enregistrements.
(comme les chants choktaws, l'immigration forcée africaine, mandingue ou plus au sud)
Quel pourcentage pour telle ou telle, c'est impossible à évaluer en fonction des régions foyer de blues, et plus encore des interprètes.
Mais cette musique importée des premiers colonisateurs est une des influences constituantes.
Et par la suite, des reprises, comme celles de Dylan par exemple, vont accentuer le trait sur le patrimoine Scottish ou Irish folk mixé au blues noir.
Gut bucket- Chicago Hero
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Re: JOE BONAMASSA
Phil cotton color a écrit:Ben oui, ce n'est pas honteux ni même incongru quand on aime le Blues... Et puis comme on dit, les goûts et les couleurs... encore que je ne suis pas vraiment certain que ce soit uniquement une question de goût, peut être aussi de culture. Attention, je ne dis pas que ceux qui aiment Joe Bonamassa manquent de culture Blues, mais peut être n'ont-ils pas toujours le même parcours musical (question de génération ?) que les plus vieux d'entre nous...Terrains vagues a écrit:Ca tire à vue ici.
Moa ch't'aime toujours Joe.
Personnellement, je me suis souvent demandé pourquoi un gars comme Bonamassa (mais il y en a beaucoup d'autres du même style qui me font la même impression) me laissait relativement froid, pourquoi je n'avais pas vraiment envie de me déplacer à un de ses concerts ni d'acheter ses CD et pourquoi quand je vois ses youtuberies, au bout d'un morceau et demi je zappe...
Parce qu'objectivement, lui et ses compères sont de sacrés guitaristes. Quel guitariste amateur (et même sans doute beaucoup de pros) n'a pas rêvé ne serait-ce qu'une fois d'être capable de jouer comme Joe Bonamassa ? Il faut le dire, tout est nickel : la technique, le son, la musicalité et même quelque part le feeling, car Joe sait très bien également jouer lentement et de façon sentie. Et par dessus tout un amour du Blues qui est évident. Comment se fait-il donc que je suis (ô combien) admiratif mais pas remué ?
C'est peut être ça... Tout est peut être trop parfait, un peu comme une trop belle fille sans aucun défaut physique et qui impressionne plus qu'elle n'attire. Rien qui dépasse négativement, une uniformité dans la qualité... J'ai envie de dire "bravo !", et tout de suite après "et alors ?..." Parce que même si je ne lui nie pas un certain feeeling, j'ai souvent le ressenti de quelque chose d'un peu artificiel, de convenu. Comment dire... J'ai l'impression que ces jeunes blancs bec si parfaits "adaptent" leur feeling à leur technique, alors que c'est l'inverse chez les bluesmen que j'aime. De même, j'ai également l'impression qu'ils "entrent" dans le Blues, alors que les bluesmen cherchent au contraire à l'expulser.
Bon, c'est compliqué à expliquer et je ne sais pas si je me fais bien comprendre...
Si si tu te fais bien comprendre Phil.
Tous les gouts sont dans la nature et il n’est pas plus honteux d’être touché par la musique de Bona que de la décrier même quand on aime le blues.
Manque de culture blues ?
Pour ma part c’est certain et je l’ai annoncé franco quand je me suis inscrit.
Je me laisse guider simplement par la chair de poule que me donne certaines notes bleutées, par les poils qui se hérissent sur les bras, par les tripes retournées dans tous les sens quand la dernière note se prolonge dans le silence. L’émotion, juste l’émotion.
Bien sur tout est question de moment, tout est question d’état d’esprit, de contexte, de mille et une choses qui font qu’on est vivant, qui font que rien n’est figé. Je ne crois pas que ce soit une question de génération mais de sensibilités différentes. C’est si compliqué de dire que X est « digne » du bleu mais pas « y » ( c’est aussi valable pour moi qui ne suis pas le dernier à critiquer ) quand tout n’est que question de ressenti, quand c’est si personnel.
Pour certains, Bona est peut être plus rock que blues je ne sais pas. Il s’éparpille ? Et alors ? En fait je crois que peu m’importe qui tient le manche, qu’importe le flacon pourvu qu’on ait l’ivresse.
Trop « parfait » ?
Là encore, et alors ? Faut-il que ça craque de partout ou que la voix soit nasillarde pour avoir des bleus à l’âme, faut-il avoir vécu (souffert bien sur, façon pouet maudit) pour avoir le cœur bleu ?
Qui est « sincère » qui ne l’est pas, difficile de « juger ». Pour ma part je me garderai bien de m’avancer sur ces chemins. Je dis ça probablement parce que je ne suis (malheureusement) pas musicien, que je ne perçois peut être pas certaines subtilités. Tout ce que je sais c’est que Bona fait partie des nombreux musiciens qui me font vibrer dans certains morceaux.
Terrains vagues- At The Crossroad
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Re: JOE BONAMASSA
Oui oui bien entendu. Je pense même que, bien que de prime abord je n'en ai pas trop l'envie, si j'allais à un concert de Joe Bonamassa, j'en retirerais si ce n'est une grande émotion du moins un certain plaisir, voire sans doute un plaisir certain. J'aime la musique avant tout et elle est en l'occurence de très bonne qualité, et c'est sûr que question guitare j'en prendrais plein la vue, ce que, étant moi même guitariste, je ne pourrais qu'apprécier.Astor a écrit: j'ai tout de même passé un très bon concert parce que j'aime vraiment le spectacle vivant et suis très tolérant envers les artistes et mesure ma chance de pouvoir assister régulièrement à des spectacles et ne pas m'en lasser depuis que je suis à Lyon. Donc ce genre de choses, un son un peu moins bon etc ne ternissent pas mon plaisir
Mon but n'est évidemment pas d'essayer de "dégoûter" les fans de Joe Bonamassa (d'abord je n'y arriverais pas, et puis de quel droit je pourrais tenter de faire cela ?), mais juste une réflexion personnelle sur mon ressenti et la question que je me pose depuis longtemps "Et pourquoi je n'accroche pas à quelque chose qui est objectivement très bon ?"
Entièrement d'accord avec toi. Au fil du temps, j'ai moi aussi beaucoup évolué dans l'appréciation objective des choses, et même dans l'appréciation subjective, ce qu'on appelle communément "les goûts". Ce qui est assez amusant, c'est que contrairement à ce que l'on pourrait penser de prime abord, l'objectivité et la subjectivité ne sont pas les exacts inverses, séparés par une barrière infranchissable, mais me parraissent au contraire en constante interaction.Astor a écrit: vaste débat mais au fil de l'acquisition d'une certaine culture (musicale ou autre) on accède à certains plaisirs et ... on apprécie différemment ceux qu'on connaît de longue date. Qui ne s'est pas mis à apprécier un auteur quand quelques années avaient passé et qu'il pouvait le lire ou l'écouter autrement. Bon, vaste sujet ...
"Les goûts ça ne se discute pas", au contraire parlons-en ! A mon avis, ça fait avancer tout le monde, même si il est vrai qu'à un certain moment toute discusion finit par tourner (provisoirement) en rond...
Phil cotton color- Chicago Hero
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Re: JOE BONAMASSA
Oui bien entendu. Personne n'est assez maso pour s'obliger à ne pas apprécier quelque chose qui te donne de l'émotion. Mais ce n'est pas le fond de ce que je veux dire. Je ne repproche nullement à Joe Bonamassa de jouer comme il le fait ni à ses fans de l'appprécier (et d'abord de quel droit je le ferais ?)Terrains vagues a écrit:Si si tu te fais bien comprendre Phil.
Tous les gouts sont dans la nature et il n’est pas plus honteux d’être touché par la musique de Bona que de la décrier même quand on aime le blues.
Manque de culture blues ?
Pour ma part c’est certain et je l’ai annoncé franco quand je me suis inscrit.
Je me laisse guider simplement par la chair de poule que me donne certaines notes bleutées, par les poils qui se hérissent sur les bras, par les tripes retournées dans tous les sens quand la dernière note se prolonge dans le silence. L’émotion, juste l’émotion.
Bien sur tout est question de moment, tout est question d’état d’esprit, de contexte, de mille et une choses qui font qu’on est vivant, qui font que rien n’est figé. Je ne crois pas que ce soit une question de génération mais de sensibilités différentes. C’est si compliqué de dire que X est « digne » du bleu mais pas « y » ( c’est aussi valable pour moi qui ne suis pas le dernier à critiquer ) quand tout n’est que question de ressenti, quand c’est si personnel.
Pour certains, Bona est peut être plus rock que blues je ne sais pas. Il s’éparpille ? Et alors ? En fait je crois que peu m’importe qui tient le manche, qu’importe le flacon pourvu qu’on ait l’ivresse.
Je m'interroge seulement sur "mes goûts" et leur évolution. Parce que là aussi tout évolue (même la sensibilité) et, comme tu le dis, rien n'est figé. Mais je pense aussi que les goûts n'évoluent pas sans raison et qu'il y a malgré tout une certaine objectivité dans les choses, même les plus subjectives.
Effectivement "Qu'importe le flacon pourvu qu'on ait l'ivresse" : sur le fond je souscris à la formule, elle est au moins très réaliste. Mais cela ne veut pas dire que celui qui s'enivre avec plaisir à la piquette du coin n'aurait pas encore plus de plaisir à le faire au Chateau Margot s'il le connaissait et avait appris à l'apprécier (et accessoirement avait les moyens de se le payer... ).
J'avais moi aussi beaucoup d'émotions il y a 45 ou 50 ans quand j'écoutais les Blues guitars héros de ma jeunesse (Eric Clapton, Alvin Lee et autres...), beaucoup moins aujourd'hui (à part Jimi Hendrix, mais lui c'est vraiment un cas à part...). De même, j'avoue que la première fois que j'ai écouté Robert Pete Williams dans les années 70, j'ai trouvé sa musique fade, presque inintéressante (si si... )... J'ai bien changé d'avis (et de goûts) aujourd'hui... Et tout cela ne peut pas être seulement une question de sensibilité de base.
Cela dit, ne voulant absolument pas disséquer (et encore moins juger) les goûts des autres, j'essaie de le faire pour moi même (et c'est déjà compliqué), même si certains vont penser que c'est de la "prise de tête" inutile, et qu'il est bien suffisant de savoir ce que l'on aime ou pas, et d'en profiter, sans chercher à savoir pourquoi... Et c'est vrai que c'est une position qui se défend...
Evidemment non, mais ça aide...Terrains vagues a écrit:Trop « parfait » ?
Là encore, et alors ? Faut-il que ça craque de partout ou que la voix soit nasillarde pour avoir des bleus à l’âme, faut-il avoir vécu (souffert bien sur, façon pouet maudit) pour avoir le cœur bleu ?
Blague à part, quand j'écoute BB King qui a lui aussi un jeu très propre, je suis pourtant loin d'entendre Joe Bonamassa ou Gene Mayer...
Je n'ai jamais douté une seconde de la sincérite et de l'amour du Blues de Joe Bonamassa, Gene Mayer etc... Et d'une certaine façon, cela alimente encore plus mes interrogations...Terrains vagues a écrit:Qui est « sincère » qui ne l’est pas, difficile de « juger ». Pour ma part je me garderai bien de m’avancer sur ces chemins. Je dis ça probablement parce que je ne suis (malheureusement) pas musicien, que je ne perçois peut être pas certaines subtilités. Tout ce que je sais c’est que Bona fait partie des nombreux musiciens qui me font vibrer dans certains morceaux.
Phil cotton color- Chicago Hero
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Re: JOE BONAMASSA
Phil cotton color a écrit:
Je n'ai jamais douté une seconde de la sincérite et de l'amour du Blues de Joe Bonamassa, Gene Mayer etc... Et d'une certaine façon, cela alimente encore plus mes interrogations...
Je crois que tu voulais parler de JOHN MAYER...ou alors j'ai un artiste a découvrir parce que gene mayer je ne connais pas ... et tout ce que j'ai trouvé sur lui c'est qu'il s'agit d'un tennisman
Bonamassa, Mayer, Lang, Trucks, Gary Clarck jr...je suis preneur, nouvelle generation, nouveaux sons, approche un peu plus jazz voir ethnique parfois, meme ZZ top pour moi c'est du blues.
papyboyington- Fever In The Bayou
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Re: JOE BONAMASSA
Hé hé... En effet mon petit cerveau fatigué a mélangé Gene et John... Bon, les instruments utilisés se ressemblent un peu...papyboyington a écrit:
Je crois que tu voulais parler de JOHN MAYER...ou alors j'ai un artiste a découvrir parce que gene mayer je ne connais pas ... et tout ce que j'ai trouvé sur lui c'est qu'il s'agit d'un tennisman
De toutes façons, on n'est pas obligé de n'écouter que du Blues ; ni de penser que parce qu'on aime le Blues, tout ce que l'on aime est forcément du Blues...papyboyington a écrit:Bonamassa, Mayer, Lang, Trucks, Gary Clarck jr...je suis preneur, nouvelle generation, nouveaux sons, approche un peu plus jazz voir ethnique parfois, meme ZZ top pour moi c'est du blues.
Phil cotton color- Chicago Hero
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