Van Morrison – Roll with the punches (2017)
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Van Morrison – Roll with the punches (2017)
Van Morrison – Roll with the punches (2017)
Date de sortie: 22 Septembre 2017
Label: Exile – Caroline international
Genre: Blues électrique, Gospel, Jazz, Soul
Liste des titres:
01- Roll with the punches (Van Morrison & Don Black)
02- Transformation (Van Morrison)
03- I can tell (Sam Smith)
04- Stormy Monday (Aaron Walker)/ Lonely Avenue (Doc Pomus )
05- Goin' to Chicago (Count Basie & Jimmy Rushing)
06- Fame (Van Morrison)
07- Too much trouble (Van Morrison)
08- Bring it on home to me (Sam Cooke)
09- Ordinary people (Van Morrison)
10- How far from God (Sister Rosetta Tharpe)
11- Teardrops from my eyes (Rudy Toombs)
12- Automobile blues (Sam Hopkins)
13- Benediction (Mose Allison)
14- Mean old world (Walter Jacobs)
15- Ride on Josephine (Elias McDaniel)
Personnel:
Van Morrison/ chant ; guitare électrique ; harmonica ; saxo ; percussions
Dave Keary/ guitare électrique et acoustique
Jeff Beck/ guitare électrique
Laurence Cottle, Pete Hurley/ basse
Chris Hill/ contrebasse
Paul Moran, Georgie Fame/ orgue Hammond
Stuart McIlroy, Jason Rebello/ piano
Paul Jones/ harmonica
Paul Moran/ trompette
Laurence Cottle/ trombone
Mez Cough, James Powell, Colin Griffin/ batterie
Mez Cough, Dan Ellis/ percussions
Chris Farlowe, Georgie Fame, Paul Jones/ vocaux
Dana Masters, Sumudu Jayatilaka, Mez Clough, Dave Keary, Elisabeth Jane Williams/ chœurs
37è album solo de l'artiste nord-irlandais (ex-leader du groupe Them de 1964 à 66), constitué de 5 compositions et de 10 reprises issues des répertoires de T-Bone Walker, Ray Charles, Count Basie, Sam Cooke, Sister Rosetta Tharpe, Ruth Brown, Lightnin' Hopkins, Little Walter, Bo Diddley.
Jeff Beck pose sa guitare sur cinq titres, Chris Farlowe, ses vocaux sur 4 & Georgie Fame, son orgue sur deux.
'Stormy Monday/ Lonely avenue'
'Goin' to Chicago'
Autres extraits de l'opus, ici ou là
Date de sortie: 22 Septembre 2017
Label: Exile – Caroline international
Genre: Blues électrique, Gospel, Jazz, Soul
Liste des titres:
01- Roll with the punches (Van Morrison & Don Black)
02- Transformation (Van Morrison)
03- I can tell (Sam Smith)
04- Stormy Monday (Aaron Walker)/ Lonely Avenue (Doc Pomus )
05- Goin' to Chicago (Count Basie & Jimmy Rushing)
06- Fame (Van Morrison)
07- Too much trouble (Van Morrison)
08- Bring it on home to me (Sam Cooke)
09- Ordinary people (Van Morrison)
10- How far from God (Sister Rosetta Tharpe)
11- Teardrops from my eyes (Rudy Toombs)
12- Automobile blues (Sam Hopkins)
13- Benediction (Mose Allison)
14- Mean old world (Walter Jacobs)
15- Ride on Josephine (Elias McDaniel)
Personnel:
Van Morrison/ chant ; guitare électrique ; harmonica ; saxo ; percussions
Dave Keary/ guitare électrique et acoustique
Jeff Beck/ guitare électrique
Laurence Cottle, Pete Hurley/ basse
Chris Hill/ contrebasse
Paul Moran, Georgie Fame/ orgue Hammond
Stuart McIlroy, Jason Rebello/ piano
Paul Jones/ harmonica
Paul Moran/ trompette
Laurence Cottle/ trombone
Mez Cough, James Powell, Colin Griffin/ batterie
Mez Cough, Dan Ellis/ percussions
Chris Farlowe, Georgie Fame, Paul Jones/ vocaux
Dana Masters, Sumudu Jayatilaka, Mez Clough, Dave Keary, Elisabeth Jane Williams/ chœurs
37è album solo de l'artiste nord-irlandais (ex-leader du groupe Them de 1964 à 66), constitué de 5 compositions et de 10 reprises issues des répertoires de T-Bone Walker, Ray Charles, Count Basie, Sam Cooke, Sister Rosetta Tharpe, Ruth Brown, Lightnin' Hopkins, Little Walter, Bo Diddley.
Jeff Beck pose sa guitare sur cinq titres, Chris Farlowe, ses vocaux sur 4 & Georgie Fame, son orgue sur deux.
'Stormy Monday/ Lonely avenue'
'Goin' to Chicago'
Autres extraits de l'opus, ici ou là
Dernière édition par Flovia le Jeu 28 Sep 2017 - 19:13, édité 1 fois
Flovia- The voice of Bluesland
- Nombre de messages : 7510
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Localisation : Dordogne
Date d'inscription : 19/03/2009
Van Morrison – Roll with the punches (2017) :: Commentaires
A tout juste 72 ans, et plus d'un demi-siècle de carrière, George Ivan Morrison, chanteur compositeur multi-instrumentiste, originaire des quartiers Est de Belfast, signe-là un album de qualité.
Et si, à mon sens, nul n'est près d'égaler le 'Stormy monday' de T-Bone, l 'Automobile blues' de Sam ou le 'How far from God' de Rosetta, l'ensemble est cependant fort bien interprété.
Van Morrison se réapproprie même avec une aisance déconcertante ces vieux standards, sans pour autant en dénaturer l'essence.
Sa reprise de 'Mean old world' se révèle d'ailleurs plus pêchue que celle de Little Walter, et sa version 'Ride on Josephine' ne trahit guère l'original de Bo Diddley.
Forte personnalité oblige, efficacité et sensibilité ne sont pas contradictoire chez lui, ce qui, allié à des arrangements soignés, confère au disque un charme indéniable.
Il faut dire que le timbre de voix de Van, beaucoup mieux adaptée qu'autrefois au blues, au jazz et à la soul, sonne encore formidablement.
Au fil du temps, son phrasé a gagné en charisme ce que l'organe vocal a perdu en tessiture, son sens aigu du tempo, l'ardeur de son chant et un feeling toujours aussi vif, aidant.
D'où mon attachement renouvelé pour ce troubadour du folk-blues, dont le titre des 70's 'I'll be your lover, too' (opus 'His band and the Street choirs'), à l'époque déjà gorgé d'émotions, avait été, pour ma part, le principal déclencheur.
Et si, à mon sens, nul n'est près d'égaler le 'Stormy monday' de T-Bone, l 'Automobile blues' de Sam ou le 'How far from God' de Rosetta, l'ensemble est cependant fort bien interprété.
Van Morrison se réapproprie même avec une aisance déconcertante ces vieux standards, sans pour autant en dénaturer l'essence.
Sa reprise de 'Mean old world' se révèle d'ailleurs plus pêchue que celle de Little Walter, et sa version 'Ride on Josephine' ne trahit guère l'original de Bo Diddley.
Forte personnalité oblige, efficacité et sensibilité ne sont pas contradictoire chez lui, ce qui, allié à des arrangements soignés, confère au disque un charme indéniable.
Il faut dire que le timbre de voix de Van, beaucoup mieux adaptée qu'autrefois au blues, au jazz et à la soul, sonne encore formidablement.
Au fil du temps, son phrasé a gagné en charisme ce que l'organe vocal a perdu en tessiture, son sens aigu du tempo, l'ardeur de son chant et un feeling toujours aussi vif, aidant.
D'où mon attachement renouvelé pour ce troubadour du folk-blues, dont le titre des 70's 'I'll be your lover, too' (opus 'His band and the Street choirs'), à l'époque déjà gorgé d'émotions, avait été, pour ma part, le principal déclencheur.
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