JB Lenoir

Bloomfield & John Lee Granderson, JB Lenoir...
LIEN
Une des grandes surprises de cet enregistrement est la courte prestation en vedette de John Lee Granderson. Né au Tennessee en 1913, John Lee s’était installé à Chicago en 1928 et était devenu un pilier du South Side, jouant avec à peu près tout le monde, surtout avec John Lee « Sonny Boy » Williamson dans les années 30 et quarante. Les quelques faces officiellement gravées par le bonhomme datent de 1964. Il ne savait pas que ce soir de 1963 une petite bobine tournait sur les genoux d’un spectateur enrichissant une bien trop courte discographie. John Lee n’est pas venu seul. Il est accompagné d’un jeune guitariste blanc encore inconnu mais apprécié des bluesmen pour sa discrétion et son goût de la note juste : Mike Bloomfield. John Lee prend la guitare électrique pour rester en rythmique, laissant à Mike le soin de « broder » avec une six-cordes acoustique. C’est parti pour trois sublimes morceaux. Un shuffle composé par John Lee, J.L’s Blues, puis deux reprises : le Everything’s Gonna Be Alright de Little Walter et le That’s All Right de Jimmy Rogers. John Lee joue principalement des basses marchantes ou axées sur le Chicago blues de l’après guerre et chante d’une superbe voix chaude, proche de celle de Jimmy Rogers, justement. Mike Bloomfield semble avoir tout compris et joue d’une façon magistrale, tellement imprégnée, pouvant laisser penser d’oreille qu’il est un « vrai bluesman ». Ces trois morceaux sont de purs chefs-d’œuvre, un très grand moment.

Je me paume un peu dans tout ces john Lee, j'ai eu par un moment un morceau dont je me rappelle plus le titre par john Lee un très bon blues à la guitare sèche, j'ai d'abord pensé john Lee Hooker , puis sonny Boy Williamson et voila une autre piste.
Que je vais essayé d'explorer le plus vite possible.

un intéressant article sur JB Lenoir dans le dernier bluesagain. On y aborde sa vie mais aussi ses relations avec le public de Chicago, son style, son influence et bien évidemment ses textes.
A compléter avec un article sur Martin Luther King et le Civil Right Movement dans ce même numéro

Jungleland a écrit:un intéressant article sur JB Lenoir dans le dernier bluesagain. On y aborde sa vie mais aussi ses relations avec le public de Chicago, son style, son influence et bien évidemment ses textes.
A compléter avec un article sur Martin Luther King et le Civil Right Movement dans ce même numéro

Merci Jungleland je vais essayer de jeter un oeil

Jungleland a écrit:un intéressant article sur JB Lenoir dans le dernier bluesagain. On y aborde sa vie mais aussi ses relations avec le public de Chicago, son style, son influence et bien évidemment ses textes.
A compléter avec un article sur Martin Luther King et le Civil Right Movement dans ce même numéro

voila qui est intéressant !

Anniversaire du décès de JB Lenoir, l'hommage de Mayall.

Old_Debris a écrit:Anniversaire du décès de JB Lenoir, l'hommage de Mayall.

Thanks so much OD pour cet hommage pour le moins subtil & somptueux. JBL le mérite amplement !

C'est chiant quand même qu'ils quasi soient tous morts.
J'aurai aimé naitre un tout petit peu plus tôt.

Mrs Pitiful a écrit:C'est chiant quand même qu'ils quasi soient tous morts.
J'aurai aimé naitre un tout petit peu plus tôt.

Hélas oui c'est un peu vrai le Blues a perdu tellement demembres éminents raison de plus ppur s'intéresser à ceux qui restent (BB King, Magic Slim, Buddy Guy...) et surtout encourager les plus jeunes qui reprennent le flambeau comme Cedric Burnsine & Malcom Young où Tab Benoit par exemple

il vaut toujours mieux être jeune et avoir manqué quelques légendes

Ha mais ça philosophe par ici.

Jipes a écrit:
Hélas oui c'est un peu vrai le Blues a perdu tellement demembres éminents raison de plus ppur s'intéresser à ceux qui restent (BB King, Magic Slim, Buddy Guy...)

+ John Primer

je viens de tomber sur sa , 51/54 sa me laisse pensé que je vais passé une tres belle fin d'aprem , meme si les covers et artworks sont pas fournis :'(
1 Let's Roll [Take 2]
02 People Are Meddling (In Our Affairs)
03 I Have Married
04 I'll Die Tryin'
05 The Mountain
06 How Much More
07 Let's Roll [Take 1]
08 The Mojo [Take 1]
09 Slow Down Woman [Take 1]
10 I Want My Baby [Take 1]
11 How Can I Leave
12 Play a Little While
13 Louise
14 The Mojo [Take 4]
15 Slow Down Woman [Take 2]
16 I Want My Baby [Take 4]
17 When I Was Young.mp3
18 Bassology
19 Worried About My Baby
20 Livin' in the White House
21 Please Don't

P'tit hommage....

Lenoir en couleur ;

Un disque qui l'a épuisé, car le viêt mine....

Le blues dans toute sa simplicité et son maximum d'émotion.

pas grand chose à ajouter !

c'est sans doute la raison pour laquelle JB Lenoir apparait invariablement dans la liste quand on me demande mes 5 bluesmen préférés

PeJam a écrit: je viens de tomber sur sa , 51/54 sa me laisse pensé que je vais passé une tres belle fin d'aprem , meme si les covers et artworks sont pas fournis :'(
1 Let's Roll [Take 2]
02 People Are Meddling (In Our Affairs)
03 I Have Married
04 I'll Die Tryin'
05 The Mountain
06 How Much More
07 Let's Roll [Take 1]
08 The Mojo [Take 1]
09 Slow Down Woman [Take 1]
10 I Want My Baby [Take 1]
11 How Can I Leave
12 Play a Little While
13 Louise
14 The Mojo [Take 4]
15 Slow Down Woman [Take 2]
16 I Want My Baby [Take 4]
17 When I Was Young.mp3
18 Bassology
19 Worried About My Baby
20 Livin' in the White House
21 Please Don't

Oui, un disque essentiel pas toujours facile à trouver.
Quel dommage qu'il soit mort si jeune, il avait tant de choses à dire et à jouer

Mojo a écrit:JB Lenoir "passionate blues"



JB Lenoir (Guitare acoustique), Fred Below (batterie), Willie Dixon (Basse, voc)

J'ai passé tout mon week-end sur cet album, Lenoir est un artiste vraiment intéressant et cet album accoustique illumine ses compositions, chef d'oeuvre !

c'est un artiste souvent oublié à tort par rapport à d'autres, d'autant plus que ses textes sont assez profonds en général

Ce matin je suis sur les Parrot Sessions (1954-55) de JB Lenoir en mode souvent Boogie Woogie (mais pas que) avec les cuivres et tout et tout !
Ce qui me frappe toujours c'est finalement la modernité de son chant et même de sa voix, mais ça reste subjectif...
Quel album ! Un sommet de sa carrière à mon avis...