Miles Davis période électrique (1969-1991)
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Miles Davis période électrique (1969-1991)
Miles Davis période électrique (1969-1991)
S'agissant de Miles Davis, les connaisseurs sont quasiment tous d'accord pour estimer que sa carrière a pris un tournant décisif à partir de 1969 avec "In a Silent Way" et "Bitches Brew". Dans ces disque, l'utilisation d'instruments électrisés va de pair avec l'adoption d'un univers musical sortant des formes traditionnelles du Jazz, préfigurant ainsi les apports du rock du funk et du rythmn & blues, dans sa musique. Jimi Hendrix, James Brown, Goerges Clinton, motown, et les acquis du Jazz, l'ont emmené à adopter une autre approche.
Le côté impressionnant de cette période est que dans ses groupes successifs, Miles Davis fera éclore le talent de ceux qui sont actuellement les piliers du Jazz Fusion. Beaucoup de sont passés par l'incubateur très prolifique qu'a constamment animé le grand Miles.
Ce nouveau style, sera lui aussi l'objet de transitions parfois radicales, qui alimentent encore aujourd'hui une polémique sur le fait de savoir s'il s'agit bien de Jazz. Miles Davis n'hésite pas à mettre de l'huile sur le feu par des déclarations parfois très radicales, où il prétend qu'il ne fait ni du Jazz ni de blues et qu'il n'a pas besoin du public pour faire vivre sa musique. Ca lui vaut encore à ce jour de farouches détracteurs, mais il faut se dire que c'est typique d'une forte personnalité qui ne veut pas se laisser enfermer dans des clichés, et qui revendique sa fierté de faire une grande musique.
En tant que créateur, ce personnage qui ne manque pas de paradoxes, avait une approche à la fois rigoureuse et laissant une grande liberté de création à ses musiciens; n'hésitant pas: tantôt à se mettre en retrait, tantôt à casser des élans trop "académiques". Le résultat est une oeuvre incroyablement variée et féconde en innovations, encore adoptées à ce jour par les tenants du jazz contemporain.
En tant que musicien, si d'autres sont certainement plus doués que lui, il reste malgré tout un des grands génies de la trompette par sa sonorité immédiatement reconnaissable, faite d'un son velouté et riche, avec un phrasé toujours très bluesy. En effet, contrairement à d'autres styles comme le be bop, le blues est le fil d'arianne de sa musique qu'il n'a jamais abandonné.
S'agissant de Miles Davis, les connaisseurs sont quasiment tous d'accord pour estimer que sa carrière a pris un tournant décisif à partir de 1969 avec "In a Silent Way" et "Bitches Brew". Dans ces disque, l'utilisation d'instruments électrisés va de pair avec l'adoption d'un univers musical sortant des formes traditionnelles du Jazz, préfigurant ainsi les apports du rock du funk et du rythmn & blues, dans sa musique. Jimi Hendrix, James Brown, Goerges Clinton, motown, et les acquis du Jazz, l'ont emmené à adopter une autre approche.
Le côté impressionnant de cette période est que dans ses groupes successifs, Miles Davis fera éclore le talent de ceux qui sont actuellement les piliers du Jazz Fusion. Beaucoup de sont passés par l'incubateur très prolifique qu'a constamment animé le grand Miles.
Ce nouveau style, sera lui aussi l'objet de transitions parfois radicales, qui alimentent encore aujourd'hui une polémique sur le fait de savoir s'il s'agit bien de Jazz. Miles Davis n'hésite pas à mettre de l'huile sur le feu par des déclarations parfois très radicales, où il prétend qu'il ne fait ni du Jazz ni de blues et qu'il n'a pas besoin du public pour faire vivre sa musique. Ca lui vaut encore à ce jour de farouches détracteurs, mais il faut se dire que c'est typique d'une forte personnalité qui ne veut pas se laisser enfermer dans des clichés, et qui revendique sa fierté de faire une grande musique.
En tant que créateur, ce personnage qui ne manque pas de paradoxes, avait une approche à la fois rigoureuse et laissant une grande liberté de création à ses musiciens; n'hésitant pas: tantôt à se mettre en retrait, tantôt à casser des élans trop "académiques". Le résultat est une oeuvre incroyablement variée et féconde en innovations, encore adoptées à ce jour par les tenants du jazz contemporain.
En tant que musicien, si d'autres sont certainement plus doués que lui, il reste malgré tout un des grands génies de la trompette par sa sonorité immédiatement reconnaissable, faite d'un son velouté et riche, avec un phrasé toujours très bluesy. En effet, contrairement à d'autres styles comme le be bop, le blues est le fil d'arianne de sa musique qu'il n'a jamais abandonné.
Mojo- Delta King
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Re: Miles Davis période électrique (1969-1991)
Quelques cd qui jalonnent cette période Jazz Fusion de Miles Davis, avec un apperçu des musiciens ayant collaboré avec lui. C'est ainsi que l'on comprend en quoi Miles Davis est une Légende.
Bitches brew
Miles Davis (Trompette) ; Wayne Shorter (saxophone soprano) ; Lenny White (batterie) ; Bennie Maupin (basse clarinette) ; Chick Corea (piano électrique) ; Jim Riley (percussions) ; Jack DeJohnette (batterier) ; Harvey Brooks (basse Fender) ; Charles Alias (batterie) ; Dave Holland (basse) ; John McLaughlin (guitare électrique) ; Joe Zawinul (piano électrique sur 1,2,3 et 6) ; Larry Young (piano électriquer sur 1,3,4 et 5)
Agharta
Miles Davis (trompette, orgue); Sonny Fortune (Soprano saxophone, alto, Flûte); Michael Henderson (basse); Pete Cosey Guitare, synthés, Percussion); Al Foster (batterie); Reggie Lucas (guitare); Mtume (congas, percussions, water drum, rythm box)
The man with the horn
Miles Davis (trompette), Robert Irving III (synthétiseur, piano, claviers), Mike Stern (guitare), Bill Evans (saxophone soprano), Felton Crews (basse), Sammy Figueroa (percussions), Barry Finnerty (guitare), Al Foster (batterie), Randy Hall (synthétiseur, guitare, Moog, chant), Marcus Miller (basse), Vince Wilburn (batterie)
Star people
Miles Davis (trompette, claviers), John Scofield (guitare), Mike Stern (guitare), Bill Evans (saxophones ténor et soprano), Tom Barney (basse), Mino Cinelu (percussions), Gil Evans (arrangement), Al Foster (batterie), Marcus Miller (basse)
TUTU
Miles Davis (trompette) ; Marcus Miller (tout le reste sauf : ) ; Jason Miles (programmations) ; Paulhino Da Costa (Percussion sur «tutu, Portia, Splash, Backyard Ritual») ; Adam Holzman (clavier solo sur «Splash») ; Omar Hakim (batterie et percussions sur Tomaas) ; Michael Urbaniak (violon électrique sur «Don’t loose your mind») ; George Duke (tout sauf percussions, basse et trompette sur «Backyard ritual»).
Bitches brew
Miles Davis (Trompette) ; Wayne Shorter (saxophone soprano) ; Lenny White (batterie) ; Bennie Maupin (basse clarinette) ; Chick Corea (piano électrique) ; Jim Riley (percussions) ; Jack DeJohnette (batterier) ; Harvey Brooks (basse Fender) ; Charles Alias (batterie) ; Dave Holland (basse) ; John McLaughlin (guitare électrique) ; Joe Zawinul (piano électrique sur 1,2,3 et 6) ; Larry Young (piano électriquer sur 1,3,4 et 5)
Agharta
Miles Davis (trompette, orgue); Sonny Fortune (Soprano saxophone, alto, Flûte); Michael Henderson (basse); Pete Cosey Guitare, synthés, Percussion); Al Foster (batterie); Reggie Lucas (guitare); Mtume (congas, percussions, water drum, rythm box)
The man with the horn
Miles Davis (trompette), Robert Irving III (synthétiseur, piano, claviers), Mike Stern (guitare), Bill Evans (saxophone soprano), Felton Crews (basse), Sammy Figueroa (percussions), Barry Finnerty (guitare), Al Foster (batterie), Randy Hall (synthétiseur, guitare, Moog, chant), Marcus Miller (basse), Vince Wilburn (batterie)
Star people
Miles Davis (trompette, claviers), John Scofield (guitare), Mike Stern (guitare), Bill Evans (saxophones ténor et soprano), Tom Barney (basse), Mino Cinelu (percussions), Gil Evans (arrangement), Al Foster (batterie), Marcus Miller (basse)
TUTU
Miles Davis (trompette) ; Marcus Miller (tout le reste sauf : ) ; Jason Miles (programmations) ; Paulhino Da Costa (Percussion sur «tutu, Portia, Splash, Backyard Ritual») ; Adam Holzman (clavier solo sur «Splash») ; Omar Hakim (batterie et percussions sur Tomaas) ; Michael Urbaniak (violon électrique sur «Don’t loose your mind») ; George Duke (tout sauf percussions, basse et trompette sur «Backyard ritual»).
Mojo- Delta King
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Re: Miles Davis période électrique (1969-1991)
Perso, la toute dernière époque du Miles, à compter de son départ de chez Columbia pour la Warner - me laisse sceptique même ( et j'entends déjà les hurlements d'effroi ) Tutu, tant encensé
Les musicos accompagnant Miles dans cette dernière époque - ont bien du talent et du mérite, mais l'ensemble me parait assez artificielle, et de toute façon, trop funk à mes oreilles délicates
Cette période en elle-même se scinde en trois époques. Pour peu que je me souvienne: 1969-1975, la meilleure, Miles accompagné de tous ses monstres sacrés que sont McLaughing, Coréa, Hancock, Williams etc....
1975-1980: Miles aux abonnés absents! On sait très peu de choses sur lui de cette époque; coupé du monde, vivant presqu'en clochard ( une photo édifiante dans un numéro Rock & Folk de l'époque ) et retour avec the man with the horn, excellente époque encore même si musicalement l'on pressent le virage trop funk à mon goût de ses derniers enregistrements Warner
Une excellente page ici sur cette époque électrique 1969/1975 que l'auteur fait démarrer un peu plus tôt, à savoir 1968:
http://www.artelio.org/art.php3?id_article=1225
Les musicos accompagnant Miles dans cette dernière époque - ont bien du talent et du mérite, mais l'ensemble me parait assez artificielle, et de toute façon, trop funk à mes oreilles délicates
Cette période en elle-même se scinde en trois époques. Pour peu que je me souvienne: 1969-1975, la meilleure, Miles accompagné de tous ses monstres sacrés que sont McLaughing, Coréa, Hancock, Williams etc....
1975-1980: Miles aux abonnés absents! On sait très peu de choses sur lui de cette époque; coupé du monde, vivant presqu'en clochard ( une photo édifiante dans un numéro Rock & Folk de l'époque ) et retour avec the man with the horn, excellente époque encore même si musicalement l'on pressent le virage trop funk à mon goût de ses derniers enregistrements Warner
Une excellente page ici sur cette époque électrique 1969/1975 que l'auteur fait démarrer un peu plus tôt, à savoir 1968:
http://www.artelio.org/art.php3?id_article=1225
Re: Miles Davis période électrique (1969-1991)
Je te rejoins sur la période Warner, qui moi aussi me laisse un peu sur ma faim, même si les albums live restent passionnants, notamment par la présence du saxophoniste remarquable qu'est Kenny Garrett; ça vaut le coup, rien que pour l'entendre marcher sur les traces de John Coltrane.
Kenny Garrett est le dernier génie propulsé par Miles; les autres instrumentistes sont au top niveau, mais en tant que groupe et non comme des virtuoses.
Mes réserves sur les dernières années de sa carrière, tiennent d'avantage sur son choix de se passer de guitariste en lui substituant un deuxième bassiste (jouant sur un registre plus aigü) qui s'y colle pour des solos qui sont loin de faire oublier le départ de John Scofield.
Ce sacré Miles aura entretenu ses controverses jusqu'a son trépas.
Mojo- Delta King
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Re: Miles Davis période électrique (1969-1991)
dans cette période...
mon album préfére reste tout de même
deux plages...d'une diversité...d'une puissance...inhumaine...
on passe du rire au larmes...
on explore des recoins insoupçonné de notre âme...rien de moins...
impossible de s'en lasser.
mon album préfére reste tout de même
deux plages...d'une diversité...d'une puissance...inhumaine...
on passe du rire au larmes...
on explore des recoins insoupçonné de notre âme...rien de moins...
impossible de s'en lasser.
Invité- Invité
Re: Miles Davis période électrique (1969-1991)
Monfreid... a écrit:dans cette période...
mon album préfére reste tout de même
deux plages...d'une diversité...d'une puissance...inhumaine...
on passe du rire au larmes...
on explore des recoins insoupçonné de notre âme...rien de moins...
impossible de s'en lasser.
Réédité avec les sessions complètes
http://www.priceminister.com/offer/buy/1623385/Davis-Miles-The-Complete-Jack-Johnson-Sessions-1971-CD-Album.html
Re: Miles Davis période électrique (1969-1991)
yep...
c'est cher...mais c'est à tomber...
d'ailleurs les éditions "complete" de sony sur miles davis sont vraiment de bonnes factures...
il va falloir que j'en tape des petites vieilles moi...
c'est cher...mais c'est à tomber...
d'ailleurs les éditions "complete" de sony sur miles davis sont vraiment de bonnes factures...
il va falloir que j'en tape des petites vieilles moi...
Invité- Invité
Re: Miles Davis période électrique (1969-1991)
Miles Davis “Cellar door sessions”
Dernière livraison des fabuleux (mais très cher) coffrets dotés des « alternates takes » de Miles Davis.
Coffret 6 cd enregistré live au club Cellar door de Washington en Décembre 1970
Miles, apparaît dans un club où se trouvait Stevie Wonder et s'adresse à lui de sa voix rauque et autoritaire : "I'm taking your fukin' bass player". C'est ainsi que le jeune bassiste Michael Henderson (sessionmen chez Motown) intègre le groupe du légendaire trompettiste en remplacement de Dave Holland démissionnaire.
Nous avons avec ce “Cellar door sessions”, ce que l'on peut appeler une "musique de recherche", à savoir que Miles à convoqué ses musiciens, et les a délibérément utilisé à contre emploi; à l'exception peut être du bassiste Michael Henderson, qui se voit confié le "moteur " de ce cette formation atypique; servant ainsi de repère aux autres musiciens qui ont besoin de se familiariser avec le groove funky.
Cette formation est donc la suivante:
Miles Davis: trompette
Jack de Johnette; Batterie
Keith Jarett: piano fender
Michael Henderson: basse
John Mac Laughlin: guitare
Gary Bartz: Saxophone
Airto Moreira: percussions
Des extraits de ces concerts se trouvent dans l'album "live Evil"; là, on les séance in extenso, et on assiste à la gestation d'une nouvelle architecture musicale, où Jack de Johnette se voit intimer l'ordre de jouer comme Buddy Miles (Batteur de Jimi Hendrix). "I get it, you want a Buddy feel with my technique", Miles rieur, lui répond: "yeah that's it".
L'aspect unique de ces sessions est que l'on entend: Keith Jarett utiliser uniquement du piano électrique (l'entendre faire du funk , il n'a jamais plus recommencé ), Miles tester sa trompette Wah Wah, Airto Moreira discret mais toujours présent, Gary Bartz souffler de savoureuses sinuosités, Jack Dejohnette constituer une section rythmique d'élite avec le Bassiste, et John Mc Laughlin (dans les 2 dernier cd uniquement) sur un registre plus "jazzy qu'Hendrixien".
Pour notre plus grand plaisir, tout ce petit monde réussi le pari de se comporter en solistes tout en s'écoutant mutuellement pour s'accompagner. C'est quasi miraculeux, car dans ces cas là: le risque est d'aboutir à une sorte de "bouillie sonore" assez repoussante, et ce n'est pas le cas, bien au contraire.
Le paradoxe de cette alchimie sonore, est que l'on à: à la fois les repères du funk et ceux du Jazz. Les musiciens progressent ensemble pour atteindre dans les derniers jours une parfaite cohérence, ce qui n'était pas acquis d'avance.
Ce coffret très bien présenté avec un livret très intéressant (les musiciens se remémorent cette époque), bénéficie des dernières technologies pour un son de qualité. Il est bien sûr destiné aux collectionneurs qui ont l'oreille habituée aux explorations musicales du grand Miles, mais le traitement reste étonnamment moderne, et agréable à écouter; c'est pourquoi je recommande sa découverte aux novices en Jazz qui veulent être étonnés par des climats sonores "extra- ordinaire".
Mojo- Delta King
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Re: Miles Davis période électrique (1969-1991)
quand tu vois les musiciens c'est évident que c'est très tentant. Reste juste le problème du prix qui est d'ailleurs une des constances dans la discographie de Miles Davis. Pour avoir un peu cherché ces derniers temps, mis à part les très grands classiques, ses albums restent vraiment assez chers
_________________
The blues are the roots
The rest are the fruits
http://aupaysdublues.free.fr/index.php
Re: Miles Davis période électrique (1969-1991)
Ma préférence reste à l'album "In A Silent Way" et à la batterie obsédante sur le morceau éponyme... Ca ne bouge pas et ça semble ne jamais devoir s'arrêter, un régal.
Le coffret "The complete sessions..." est un bel objet et un bon investissement.
Le coffret "The complete sessions..." est un bel objet et un bon investissement.
Freaks- Delta King
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Date d'inscription : 22/03/2006
Re: Miles Davis période électrique (1969-1991)
bon j'avoue j'ai des vynils des cd...
mais ça reste le bordel
s'il y a un(e) spécialiste dans le coin (ou dans le rond)
qui pouvait lister les coffrets sony...dans l'ordre avec les albums (périodes) couverts...
je serais pour
mais ça reste le bordel
s'il y a un(e) spécialiste dans le coin (ou dans le rond)
qui pouvait lister les coffrets sony...dans l'ordre avec les albums (périodes) couverts...
je serais pour
Invité- Invité
Re: Miles Davis période électrique (1969-1991)
Monfreid... a écrit:bon j'avoue j'ai des vynils des cd...
mais ça reste le bordel
s'il y a un(e) spécialiste dans le coin (ou dans le rond)
qui pouvait lister les coffrets sony...dans l'ordre avec les albums (périodes) couverts...
je serais pour
j'avais un lien d'enfer à ce sujet, de la Sony en plus. Fonctionne plus
Lister le Miles, gros boulot quand même. Ca demande de la disponibilité à moins que quelqu'un dispose d'un lien miracle
Re: Miles Davis période électrique (1969-1991)
essaie www.jazzitude.forumactif.com, y a du lourd !
prunette- Invité
Re: Miles Davis période électrique (1969-1991)
merci à vous (au fait le lien faire le forum de jazz c'est sans les "www")
sinon j'ai trouvé ça aussi...
c'est rangé et bordélique à la fois...(sisi c'est possible)
et ça couvre tout...
discographie miles davis
bien à vous,
Monfreid...
sinon j'ai trouvé ça aussi...
c'est rangé et bordélique à la fois...(sisi c'est possible)
et ça couvre tout...
discographie miles davis
bien à vous,
Monfreid...
Invité- Invité
Re: Miles Davis période électrique (1969-1991)
Jungleland a écrit:
quand tu vois les musiciens c'est évident que c'est très tentant. Reste juste le problème du prix qui est d'ailleurs une des constances dans la discographie de Miles Davis. Pour avoir un peu cherché ces derniers temps, mis à part les très grands classiques, ses albums restent vraiment assez chers
Je te rejoins tout à fait, je trouve en effet que le prix de ce coffret est cher d'autant qu'il s'agit de matériel ancien dont une partie esr déjà sorti.
Et sauf si on est un grand fan de Miles on hésite.
_________________
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http://mick.over-blog.com/
Re: Miles Davis période électrique (1969-1991)
Bonche, je trouve pas ce coffret de Cellar si cher que cela. Trouvable entre 65 et 85€ généralement, vous divisez par 6, c'est pas la mer à boire. On trouve pas mal de Miles dans la collection Legacy remastérisés, avec bonus tracks pour moins de 8€
Bon, j'vous laisse, je retourne à mon Cellar Door Session, rentré vendredi, quel pied!
Bon, j'vous laisse, je retourne à mon Cellar Door Session, rentré vendredi, quel pied!
Re: Miles Davis période électrique (1969-1991)
et une question stupide une...
voilà...ne possédant aucun de ces magnifiques coffret...
je me demandais si les livrets étaient intéressant ou non ?
c'est à dire a t'on droit à 10 pages de jolies photos sympa mais non informatives...ou à un bottin de 1 500 pages avec des notations de partout nous expliquant même à quels moment miles allait se soulager au wc ?
ou au contraire à un savant mélange des deux s'étendant sur 50 ou 100 pages ?
et...c'est en anglais ou en français...?
bien à vous,
Monfreid...qui se tâte énormément pour commencer à investir...
voilà...ne possédant aucun de ces magnifiques coffret...
je me demandais si les livrets étaient intéressant ou non ?
c'est à dire a t'on droit à 10 pages de jolies photos sympa mais non informatives...ou à un bottin de 1 500 pages avec des notations de partout nous expliquant même à quels moment miles allait se soulager au wc ?
ou au contraire à un savant mélange des deux s'étendant sur 50 ou 100 pages ?
et...c'est en anglais ou en français...?
bien à vous,
Monfreid...qui se tâte énormément pour commencer à investir...
Invité- Invité
Re: Miles Davis période électrique (1969-1991)
Les livrets sont plutôt fournis, très instructifs et en anglais: il vaut mieux disposer d'un dico à portée
Sur cette époque du Miles, il y a un excellent dvd sous titré qui aide à mieux saisir les choix du Miles. Nombreux interviews des musicos de l'époque et le concert à l'île de Wight avec un Jarrett bien agaçant parfois
Sur cette époque du Miles, il y a un excellent dvd sous titré qui aide à mieux saisir les choix du Miles. Nombreux interviews des musicos de l'époque et le concert à l'île de Wight avec un Jarrett bien agaçant parfois
Re: Miles Davis période électrique (1969-1991)
merci de l'info
sinon je viens de craquer pour
c'est à dire l'intégralité des sessions miles davis - Gils evans...
je repasserais donner un avis plus conséquent une fois l'écoute terminée...
mais ça à l'air d'être du lourd...(je ne connaissait pas tout de cette période).
à noter à propos de ces coffrets.
que si ils sont sortie en format "coffret"...ils ont pour la plupart étaient réédité au format "longbox"...
mais pas tous non plus.
ça va (ou dois) être coton de les posséder tous dans la même version...
mais ne boudons pas notre plaisir
bien à vous,
Monfreid...
sinon je viens de craquer pour
c'est à dire l'intégralité des sessions miles davis - Gils evans...
je repasserais donner un avis plus conséquent une fois l'écoute terminée...
mais ça à l'air d'être du lourd...(je ne connaissait pas tout de cette période).
à noter à propos de ces coffrets.
que si ils sont sortie en format "coffret"...ils ont pour la plupart étaient réédité au format "longbox"...
mais pas tous non plus.
ça va (ou dois) être coton de les posséder tous dans la même version...
mais ne boudons pas notre plaisir
bien à vous,
Monfreid...
Invité- Invité
Re: Miles Davis période électrique (1969-1991)
J'écoute en ce moment Cellar Door Session.
Je ne suis pas un grand fan de jazz ni de Miles, mais alors là ! ! !
SUPERBE, soir, après soir Miles et ses musiciens explorent, défrichent, expérimentent ce qui deviendra la musique jazz & électrique des seventies.
Le son de Miles est trafiqué, furieux électrique, mais le piano compense cette folle entreprise et quand on lit le nom des musiciens, on comprend qu'il savait s'entourer le bougre.
Plus de 35 ans après cette musique est intemporelle, urgente, essentielle, inventive, surprenante.
Je ne suis pas un grand fan de jazz ni de Miles, mais alors là ! ! !
SUPERBE, soir, après soir Miles et ses musiciens explorent, défrichent, expérimentent ce qui deviendra la musique jazz & électrique des seventies.
Le son de Miles est trafiqué, furieux électrique, mais le piano compense cette folle entreprise et quand on lit le nom des musiciens, on comprend qu'il savait s'entourer le bougre.
Plus de 35 ans après cette musique est intemporelle, urgente, essentielle, inventive, surprenante.
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Re: Miles Davis période électrique (1969-1991)
Je confirme pour le Cellar Door : certainement une des rééditions de l'années 2005.
Ceux qui ont aimé le Live Evil peuvent y aller les yeux fermés.
Pour revenir aux premiers posts, je trouve moi aussi qu'englober dans un même ensemble les périodes 1969/1975 et les périodes 1981/1991 pas forcément cohérent : si Miles est à l'avant-garde du mouvement lors de la première période, c'est nettement moins évident pour la seconde.
A partir de Tutu, je n'y trouve plus aucun intérêt.
De nombreux DVD pirates de Miles sont disponibles actuellement sur le net (8 volumes, 1967/1973).
J'ai ainsi vu la semaine dernière deux concerts de 73, du proto-Agartha.
Dave Liebman est phénoménal dans son rôle coltranien.
Et, bonne surprise, Miles est en très grande forme sur le concert donné au Japon !
Ceux qui ont aimé le Live Evil peuvent y aller les yeux fermés.
Pour revenir aux premiers posts, je trouve moi aussi qu'englober dans un même ensemble les périodes 1969/1975 et les périodes 1981/1991 pas forcément cohérent : si Miles est à l'avant-garde du mouvement lors de la première période, c'est nettement moins évident pour la seconde.
A partir de Tutu, je n'y trouve plus aucun intérêt.
De nombreux DVD pirates de Miles sont disponibles actuellement sur le net (8 volumes, 1967/1973).
J'ai ainsi vu la semaine dernière deux concerts de 73, du proto-Agartha.
Dave Liebman est phénoménal dans son rôle coltranien.
Et, bonne surprise, Miles est en très grande forme sur le concert donné au Japon !
Re: Miles Davis période électrique (1969-1991)
Tout à fait d'accord avec toi Ayler, Miles impulse le mouvement mais ensuite il est très en retrait.
Le modératuer zeppelinien de ton forum
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Re: Miles Davis période électrique (1969-1991)
J'ai réécouté Decoy ce matin (pour ne plus entendre mon père jouer de la guitare....^^)
C'est vraiment... Pffiou incroyable? Superbe?
Le son de Miles.
Les magnifiques solos de guitares!!!
un bassiste vraiment très bon.
L'ensemble est magique!!!
Je connais que très peu Miles Davis et je ne pourrais donc pas faire de comparaison mais en tout cas j'aime vraiment cet album.
C'est vraiment... Pffiou incroyable? Superbe?
Le son de Miles.
Les magnifiques solos de guitares!!!
un bassiste vraiment très bon.
L'ensemble est magique!!!
Je connais que très peu Miles Davis et je ne pourrais donc pas faire de comparaison mais en tout cas j'aime vraiment cet album.
Rory l'Irlandais- Delta King
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Re: Miles Davis période électrique (1969-1991)
Mojo a écrit:
Mes réserves sur les dernières années de sa carrière, tiennent d'avantage sur son choix de se passer de guitariste en lui substituant un deuxième bassiste (jouant sur un registre plus aigü) qui s'y colle pour des solos qui sont loin de faire oublier le départ de John Scofield.
Ce sacré Miles aura entretenu ses controverses jusqu'a son trépas.
Pas trop d'accord sur ce point de détail moi j'ai beaucoup aimé la formation avec Foley Mc Creary et sa guitare/Basse leur apport avec Kenny Garett au dernières années de Miles on t été très intéressantes je me souviens encore du Live à Paris avec Miles qui pousse Kenny en lui disant "This is your night"
J'en ai encore des frissons
Jipes
Re: Miles Davis période électrique (1969-1991)
Ayler a écrit:.
A partir de Tutu, je n'y trouve plus aucun intérêt.
Pas d'accord avec toi Tutu est un excellent album certes plus funk dans l'esprit que tout ce qu'il avait commis auparavant mais quand même Marcus Miller c'est qq chose et les morceaux de cet album sont géniaux alors que moi la période avec Keith et Corea me scie les tympans
Comme quoi tous les goûts sont dans la nature !
Jipes
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Dim 20 Aoû 2023 - 23:14 par Jipes