Albert Castiglia – Wild and free (Live) (2020)
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27052020
Albert Castiglia – Wild and free (Live) (2020)
Date de sortie : 3 Avril 2020
Label : Gulf coast records
Genre : Hard blues, hard-rock, blues-rock.
Liste des titres :
01- Let the big dog eat (titre de Bill 'Sauce Boss' Wharton)
02- Hoodoo on me (de Mike Zito)
03- I been up all night (de Brian Stoltz)
04- Heavy (d'A. Castiglia)
05- Get your ass in the van (d'A. Castiglia)
06- Searching the desert for the blues (de Graham Wood Drout)
07- Keep on swinging (d'A. Castiglia)
08- Too much Seconal (de Johnny Winter)
09- Lovin' cup (de Paul Butterfield)
10- I tried to tell ya (d'A. Castiglia)
11- Boogie funk (de Freddie King)
Personnel :
Albert Castiglia/ Guitare et chant
Justine Tompkins/ basse, vocaux
Ephraim Lowell/ batterie
John Ginty/ piano, orgue (titre n°8,9 )
Lewis Stephens/ piano, orgue
Invité :
Mike Zito/ guitare (titre n°8 )
Album enregistré live au 'Funky Biscuit' de Boca Raton (Floride), les 3 & 4 janvier 2020, et produit par Mike Zito.
'Heavy'
'I tried to tell ya'
'Too much Seconal'
'Lovin' cup'
'Boogie funk'
'Searching the desert or the blues'
'Keep on swinging'
Flovia- The voice of Bluesland
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Date d'inscription : 19/03/2009
Albert Castiglia – Wild and free (Live) (2020) :: Commentaires
Très bonne captation en public, efficace, portée par l'impressionnante énergie qu'y développe Castiglia.
Aucun risque de s'endormir durant cette prestation tant il envoie la sauce. Nul besoin de revenir non plus sur son indéniable dextérité guitariste.
En revanche, et paradoxalement, je trouve que sa voix passe beaucoup mieux dans le contexte du live. D'ordinaire rien moins que subjuguée par son timbre vocal viril et son phrasé gorgé de caractère, sa façon de chanter me semble ici totalement en phase avec cette déferlante de watts.
Aucun risque de s'endormir durant cette prestation tant il envoie la sauce. Nul besoin de revenir non plus sur son indéniable dextérité guitariste.
En revanche, et paradoxalement, je trouve que sa voix passe beaucoup mieux dans le contexte du live. D'ordinaire rien moins que subjuguée par son timbre vocal viril et son phrasé gorgé de caractère, sa façon de chanter me semble ici totalement en phase avec cette déferlante de watts.
Je dois avouer que je n’étais pas un grand fan des albums studio d’Albert Castiglia même si il est évident que sa production s’améliore nettement au fil de sa carrière. J’ai eu la chance de le voir en live à Bâle quelques semaines après l’enregistrement de cet album qui s’est déroulé les 3 & 4 janvier 2020 au Funky Biscuit de Boca Raton, en Floride.
Notre homme évolue dans le blues-rock couillu et démarre tout en puissance avec ". Let The Big Dog Eat " histoire d’entrer dans le vif du sujet. Le groupe enchaîne sur deux autres titres du même acabit, afin de bien marteler le message, puis ralentit le tempo avec «Heavy» une ballade puissante tirée de Masterpiece où il met en valeur ses talents harmoniques et démontre si besoin qu’il n’est pas un gros bourrin qui aligne les notes. «Get Your Ass in the Van» semble être l’enfant bâtard du Pride and Joy» de Stevie Ray Vaughan et du «Dust My Broom» de Elmore James bien rugueux, bien roots. Son pote et producteur Mike Zito vient avec sa guitare pour « Too Much Seconal » ce qui est un sacré bonus. A noter la cohésion parfaite des musiciens, et l’éfficacité élegante de Justine Tompkins à la basse.
A Bâle, Albert disait qu’il aimerait venir jouer en France, ce qui n’est jamais arrivé.
Notre homme évolue dans le blues-rock couillu et démarre tout en puissance avec ". Let The Big Dog Eat " histoire d’entrer dans le vif du sujet. Le groupe enchaîne sur deux autres titres du même acabit, afin de bien marteler le message, puis ralentit le tempo avec «Heavy» une ballade puissante tirée de Masterpiece où il met en valeur ses talents harmoniques et démontre si besoin qu’il n’est pas un gros bourrin qui aligne les notes. «Get Your Ass in the Van» semble être l’enfant bâtard du Pride and Joy» de Stevie Ray Vaughan et du «Dust My Broom» de Elmore James bien rugueux, bien roots. Son pote et producteur Mike Zito vient avec sa guitare pour « Too Much Seconal » ce qui est un sacré bonus. A noter la cohésion parfaite des musiciens, et l’éfficacité élegante de Justine Tompkins à la basse.
A Bâle, Albert disait qu’il aimerait venir jouer en France, ce qui n’est jamais arrivé.
Bof bof pas du tout accroché peut être deux titres au total le reste ne me touche absolument pas
Plutôt de l'avis de Jipes.
Certes, je suis d'accord avec toi Flo, aucun risque de s'endormir, mais personnellement je pourrais certainement vite m'ennuyer au bout de 2/3 morceaux.
Je ne sais trop comment appeler ce genre de musique, heavy blues, power blues, hard rock blues ou autre, mais même si Albert Castiglia est évidemment un bon guitariste, ce déluge de distorsion me semble manquer pas mal de feeling et de finesse. Et la voix, qui effectivement colle très bien au reste, est à l'avenant. Parfois on est même carrément aux confins du métal, ce qui je pense n'est pas pour déplaire à Flo, plutôt fan de ce style, je crois.
Alors soyons clair, étant depuis toujours very fan de Jimi Hendrix, je ne vais certes pas dire que je déteste cette manière d'aborder le blues qu'il utilisait souvent (mais pas que hein…). Mais justement, il y a à mes oreilles un gouffre entre le feeling et le talent de Hendrix et ceux de Castiglia.
Pour moi, un disque et un artiste honnêtes, sans plus.
Certes, je suis d'accord avec toi Flo, aucun risque de s'endormir, mais personnellement je pourrais certainement vite m'ennuyer au bout de 2/3 morceaux.
Je ne sais trop comment appeler ce genre de musique, heavy blues, power blues, hard rock blues ou autre, mais même si Albert Castiglia est évidemment un bon guitariste, ce déluge de distorsion me semble manquer pas mal de feeling et de finesse. Et la voix, qui effectivement colle très bien au reste, est à l'avenant. Parfois on est même carrément aux confins du métal, ce qui je pense n'est pas pour déplaire à Flo, plutôt fan de ce style, je crois.
Alors soyons clair, étant depuis toujours very fan de Jimi Hendrix, je ne vais certes pas dire que je déteste cette manière d'aborder le blues qu'il utilisait souvent (mais pas que hein…). Mais justement, il y a à mes oreilles un gouffre entre le feeling et le talent de Hendrix et ceux de Castiglia.
Pour moi, un disque et un artiste honnêtes, sans plus.
Honnêtement, j'écoute de moins en moins de Metal, Phil, mais oui, j'aime bien, de temps à autres. À petites doses, ça me booste lorsque je manque d'énergie. Ceci dit, je suis loin de goûter l'ensemble de ses sous-genres.
Note toutefois qu'avec Castiglia, on est encore loin du Metal.
En vérité, j'ai posté ce live pour deux raisons :
Primo, parce que j'ai trouvé la performance costaude (pour ne pas dire ''couillue'', comme l'écrit si bien Michel, c'est vraiment le terme qui convient!).
Secundo, du fait que son avant-dernier album, 'Masterpiece' (2019) (opus studio pour le moins assez spécial, que j'avais trouvé plutôt dissonant et très mal chanté) vient de remporter le Blues Music Awards 2020 du meilleur album, catégorie blues-rock.
Au demeurant, je reconnais que l'on sort un tantinet groggy de ce live. Pour éviter toute surdose, deux ou trois véritables blues lents habilement placés auraient fait l'affaire. Mais voilà, il n'y a que le mid/low tempo 'Heavy' et peut-être aussi 'Searching the desert for the blues' pour nous laisser un tant soit peu reprendre haleine.
En ce qui concerne le manque de feeling chez A.C., je crois que nous serons tous d'accord .
Il n'y a d'ailleurs pas grand chose à ressentir avec le style de zik qu'il pratique. Ça va juste bien pour se vider la tête.
Note toutefois qu'avec Castiglia, on est encore loin du Metal.
En vérité, j'ai posté ce live pour deux raisons :
Primo, parce que j'ai trouvé la performance costaude (pour ne pas dire ''couillue'', comme l'écrit si bien Michel, c'est vraiment le terme qui convient!).
Secundo, du fait que son avant-dernier album, 'Masterpiece' (2019) (opus studio pour le moins assez spécial, que j'avais trouvé plutôt dissonant et très mal chanté) vient de remporter le Blues Music Awards 2020 du meilleur album, catégorie blues-rock.
Au demeurant, je reconnais que l'on sort un tantinet groggy de ce live. Pour éviter toute surdose, deux ou trois véritables blues lents habilement placés auraient fait l'affaire. Mais voilà, il n'y a que le mid/low tempo 'Heavy' et peut-être aussi 'Searching the desert for the blues' pour nous laisser un tant soit peu reprendre haleine.
En ce qui concerne le manque de feeling chez A.C., je crois que nous serons tous d'accord .
Il n'y a d'ailleurs pas grand chose à ressentir avec le style de zik qu'il pratique. Ça va juste bien pour se vider la tête.
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