Robin Trower - Coming closer to the day (2019)
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Robin Trower - Coming closer to the day (2019)
Robin Trower - Coming closer to the day (2019)
Date de sortie : 22 Mars 2019
Label : Provogue / Mascot label group
Pays : Angleterre
Genre : Blues-rock, hard blues psyché, rock
Liste des titres :
01- Diving bell
02- Truth or lies
03- Coming closer to the day
04- Ghosts
05- Tide of confusion
06- The perfect wrong
07- Little girl blue
08- Someone of great renown
09- Lonesome road
10- Tell me
11- Don't ever change
12- Take me with you
Personnel :
Robin Trower/ guitare, basse, chant
Chris Taggart/ batterie
Produit par Sam Winfield & Robin Trower, enregistré par Sam Winfield .
'Lonesome road'
'Ghosts'
'Coming closer to the day'
'The perfect wrong'
'Tell me'
'Truth or lies'
'Diving bell'
'Tide of confusion'
'Little girl blue'
'Someone of great renown'
'Don't ever change'
'Take me with you'
Date de sortie : 22 Mars 2019
Label : Provogue / Mascot label group
Pays : Angleterre
Genre : Blues-rock, hard blues psyché, rock
Liste des titres :
01- Diving bell
02- Truth or lies
03- Coming closer to the day
04- Ghosts
05- Tide of confusion
06- The perfect wrong
07- Little girl blue
08- Someone of great renown
09- Lonesome road
10- Tell me
11- Don't ever change
12- Take me with you
Personnel :
Robin Trower/ guitare, basse, chant
Chris Taggart/ batterie
Produit par Sam Winfield & Robin Trower, enregistré par Sam Winfield .
'Lonesome road'
'Ghosts'
'Coming closer to the day'
'The perfect wrong'
'Tell me'
'Truth or lies'
'Diving bell'
'Tide of confusion'
'Little girl blue'
'Someone of great renown'
'Don't ever change'
'Take me with you'
Flovia- The voice of Bluesland
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Robin Trower - Coming closer to the day (2019) :: Commentaires
Voici ce qu'en pense Patrick Dallongeville (Blues Magazine, ParisMove, Illico & BluesBoarder ) :
''Il faudrait être sourd pour ne pas l’entendre: depuis plus d’un demi-siècle, Robin Trower figure en tête de liste des grands traumatisés de Jimi Hendrix. Mais à la différence notable de la cohorte de ses suiveurs, il n’imite pas le Voodoo Chile, non. Il le vit et le respire, bref, il l’habite. Comme l’énonçait Phil May lors d’une interview donnée voici une dizaine d’années, de nos jours, quantité de gamins s’avèrent capables de jouer Hendrix à la perfection. Le problème est qu’ils n’entravent par contre rien à pourquoi Jimi jouait ainsi. Robin Trower, lui, sait! Bien qu’ayant été élevé dans l’estuaire de la Tamise (à l’instar de ses comparses de Procol Harum, ainsi que de Peter Green et des membres fondateurs de Dr. Feelgood), ce gnome au nez cabossé connaît le blooze comme le revers de sa main gauche. Et que l’on vienne des confins de Seattle ou de Southend-On-Sea, rien de tel, quand on a la glaise poisseuse aux grolles, que de tenter de s’en extirper en visant les étoiles. Alors qu’il vient d’entrer dans sa 75ème année, l’homme aux 24 albums (et aux 17 contributions à ceux d’autres artistes) persiste donc à labourer le même sillon toxique et boueux que lors de son départ de Procol. Et le plus fort, c’est qu’il ne parvient ni à s’en lasser, ni à en saturer la foule de ses fidèles. Le truc? Sans doute le même que pour Hendrix, si ce dernier avait pu atteindre le même âge: de “Diving Bell” à “Someone Of Great Renown” (et ce “Lonesome Road” stratosphérique et hanté), le feeling incandescent qui présidait à ses “Bridge Of Sighs” et “For Earth Below” d’il y a 45 ans ne s’éteint toujours pas. “Excuse me, while I kiss the sky”, comme disait l’autre… Attention, brûlant!''
Pour ma part inconditionnelle de Trower depuis 'Bridge of sighs' (1974), en passant par le 'Seven Moons' de l'épatant tandem Jack Bruce-Robin trower (2007), j'ajouterais juste à cette critique qu'ayant suivi de près la carrière disco du guitariste elle ne m'a jamais vraiment déçue.
Et tout en n'étant pas spécialiste d'Hendrix, il me semble aussi qu'en dehors de leur recours commun à la distorsion, par l'intermédiaire de pédales d'effets (fuzz, wah-wah,...), Trower a toujours eu son propre style, tantôt reptilien, tantôt pachydermique et en effet poisseux, tantôt cosmique, tout comme un jeu de guitare très personnel. D'ajouter que son chant s'améliore d'album en album.
Un album à déguster sans modération!
''Il faudrait être sourd pour ne pas l’entendre: depuis plus d’un demi-siècle, Robin Trower figure en tête de liste des grands traumatisés de Jimi Hendrix. Mais à la différence notable de la cohorte de ses suiveurs, il n’imite pas le Voodoo Chile, non. Il le vit et le respire, bref, il l’habite. Comme l’énonçait Phil May lors d’une interview donnée voici une dizaine d’années, de nos jours, quantité de gamins s’avèrent capables de jouer Hendrix à la perfection. Le problème est qu’ils n’entravent par contre rien à pourquoi Jimi jouait ainsi. Robin Trower, lui, sait! Bien qu’ayant été élevé dans l’estuaire de la Tamise (à l’instar de ses comparses de Procol Harum, ainsi que de Peter Green et des membres fondateurs de Dr. Feelgood), ce gnome au nez cabossé connaît le blooze comme le revers de sa main gauche. Et que l’on vienne des confins de Seattle ou de Southend-On-Sea, rien de tel, quand on a la glaise poisseuse aux grolles, que de tenter de s’en extirper en visant les étoiles. Alors qu’il vient d’entrer dans sa 75ème année, l’homme aux 24 albums (et aux 17 contributions à ceux d’autres artistes) persiste donc à labourer le même sillon toxique et boueux que lors de son départ de Procol. Et le plus fort, c’est qu’il ne parvient ni à s’en lasser, ni à en saturer la foule de ses fidèles. Le truc? Sans doute le même que pour Hendrix, si ce dernier avait pu atteindre le même âge: de “Diving Bell” à “Someone Of Great Renown” (et ce “Lonesome Road” stratosphérique et hanté), le feeling incandescent qui présidait à ses “Bridge Of Sighs” et “For Earth Below” d’il y a 45 ans ne s’éteint toujours pas. “Excuse me, while I kiss the sky”, comme disait l’autre… Attention, brûlant!''
Pour ma part inconditionnelle de Trower depuis 'Bridge of sighs' (1974), en passant par le 'Seven Moons' de l'épatant tandem Jack Bruce-Robin trower (2007), j'ajouterais juste à cette critique qu'ayant suivi de près la carrière disco du guitariste elle ne m'a jamais vraiment déçue.
Et tout en n'étant pas spécialiste d'Hendrix, il me semble aussi qu'en dehors de leur recours commun à la distorsion, par l'intermédiaire de pédales d'effets (fuzz, wah-wah,...), Trower a toujours eu son propre style, tantôt reptilien, tantôt pachydermique et en effet poisseux, tantôt cosmique, tout comme un jeu de guitare très personnel. D'ajouter que son chant s'améliore d'album en album.
Un album à déguster sans modération!
Moins enthousiaste que toi....Certes il m'a marqué au fer rouge avec l'intro de Simple Sister sur Broken Barricades de Procol Harum et ses premiers disques en solo étaient bons ainsi que son live de 1976....après mis à part sa collaboration avec Jack Bruce, j'ai l'impression qu'il fait un peu toujours le même disque...
C'est bien foutu certes mais Hendrix est mort en 1970....Il est temps de faire le deuil non?
C'est bien foutu certes mais Hendrix est mort en 1970....Il est temps de faire le deuil non?
Lui, j'ignore s'il l'a fait ou non... Mais en ce qui me concerne, c'est fait depuis bien longtemps!
Trower a toutefois toujours été féru de blues, en particulier d'Albert King, de Muddy Waters et de BB King.
Trower a toutefois toujours été féru de blues, en particulier d'Albert King, de Muddy Waters et de BB King.
Bon, je ne vais peut être pas me faire des copains mais je suis assez fan de Robin Trower. Je l'avais découvert à la sortie du premier LP de Procol Harum en 1967 et il avait surtout marqué mon oreille avec Conquistador et Repent Walpurgis. J'ai même regretté son départ de Procol Harum mais bon Oui il a toujours été féru de blues voir d'ailleurs l'album "Someday blues". Je pense surtout qu'il s'est créé son style de guitare avec des recettes qui lui sont propres et qu'il réutilise régulièrement. Probablement que le sommet a été atteint dans sa collaboration avec Jack Bruce
Jipem ici c'est fait pour donner son avis. Alors personne ne va te balancer son boeuf en daube dans la tronche quand tu t"expimes.
Après il existe des sujets douloureux....Comme Popa Ch ubby
Après il existe des sujets douloureux....Comme Popa Ch ubby
BAYOU a écrit:Jipem ici c'est fait pour donner son avis. Alors personne ne va te balancer son boeuf en daube dans la tronche quand tu t"expimes.
Après il existe des sujets douloureux....Comme Popa Ch ubby
Ah tu voulais parler du bibendom de brooklyn Pour avec plaisir
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